31.01.04
[c1]
[c2]
01.02.04
[c3]
Montaigne fait là référence à Platon :
[c4]
Iris, c'est l'incarnation colorée de ce qui permet le regard, l'admiration et l'étonnement devant les merveilles de la Nature. Iris était la déesse de l'Arc-en-ciel, fille du Titan Thaumas et d'Électre, la fille du Titan Océanos. Messagère de Zeus et de son épouse Héra, Iris quittait l'Olympe pour apporter les commandements divins aux êtres humains, qui voyaient en elle une conseillère et un guide. Voyageant à la vitesse du vent, elle pouvait aller d'un bout à l'autre de la terre, au fond de la mer comme dans les profondeurs du monde souterrain. Bien qu'elle fût sœur de ces monstres ailés qu'étaient les Harpies, Iris était représentée sous les traits d'une belle jeune fille, pourvue d'ailes et vêtue de robes aux brillantes couleurs; sa tête était entourée d'un halo de lumière et elle filait à travers le ciel, laissant dans son sillage un arc-en-ciel, symbole du lien entre le ciel et la terre.
02.02.04
[c5]
[c6]
04.02.04
[c7]
[c8]
[c9]
05.02.04
[c10]
[c11]
06.02.04
[c12]
Démonax, par delà les siècles, en bon disciple de Diogène, a un propos qui rappelle celui que nous rapporte Laerce dans son texte sur la vie du premier des philosophes cyniques :
À celui qui tirait vanité de la peau de lion qui le couvrait, Diogène disait : "Cesse donc de déshonorer le vêtement du courage."
À moins que ce ne fut, nous dit Léonce Baquet en note, un souvenir du mot de Sotadès dans Strobée :
"Tout monarque que tu puisses être, écoute comme un mortel que tu es: [...] tu es richement vêtu, mais un mouton a porté cela avant toi..."
07.02.04
[c13]
Le même Kant :
C'est au fond de l'éducation que gît le grand secret de la perfection de la nature humaine.
[c14]
08.02.04
[c15]
[c16]
Voici venir les temps ou vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir
Valse mélancolique et langoureux vertige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige
Un cœur tendre qui hait le néant vaste et noir
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Baudelaire, Les Fleurs du Mal, XLVII. Harmonie du soir, LP n°677, 2002, p.95.
28/02/04
Savez vous que vous pouvez trouver en ligne un très bon site pour le Français en prépas scientifiques ?
29/02/04
Vous avez été plusieurs à me transmettre des citations, merci à vous. Voici celles que je retiens pour cette page :
[c17]
[c18]
[c19]
[c20]
[c21]
Socrate
[c22]
Socrate