GALERIE - Céline C.

Madrid depuis la colline du Tío Pío. J'ai choisi cette oeuvre d'Antonio López car sur ce tableau on distingue bien la sécheresse au premier plan où il n'y a aucun signe de vie, et au deuxième plan les bâtiments envahissants, la ville, la vie. J'ai représenté mon oeuvre sur une feuille de papier Canson. Pour représenter la sécheresse, j'ai utilisé des pigments de différentes couleurs que j'ai mélangés avec de la colle, et j'ai étalé le tout sur une grande partie de la feuille avec mes doigts. Ensuite, j'ai représenté les bâtiments avec des lavis d'encre bleue et marron/orange que j'ai découpés en différentes formes et que j'ai superposés pour donner un effet de surpopulation, d'étouffement. Quant au ciel, j'ai choisi la peinture naturelle, sans eau, pour le représenter. J'ai mélangé du violet avec du blanc pour bien montrer la profondeur des couleurs.

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