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Finalités : Quelle que soit la spécialité ou le jeu de pelote considéré, la logique interne de l’activité ne varie pas : il s'agit de mettre la pelote hors de portée de l’adversaire dans un espace donné. La notion de rupture de l'échange, au travers de la recherche de force,de vitesse de la balle ou d'angles de trajectoire, est déterminante. Cette rupture d'échange est le fruit d'une stratégie individuelle ou collective. Aires de jeu : à l’école primaire, n’importe quel mur auquel correspond un sol lisse peut faire l’affaire. Il suffit de tracer une raie au mur à environ 80 cm du sol (hauteur du genou d'un adulte) et de délimiter également l'aire de jeu. Attention: les pelotes touchant les lignes sont fausses (à l’inverse du tennis) Ordre de jeu : la pelote est frappée alternativement par chaque adversaire ou équipe. Dans les cas de partie à 2 contre 2 (ou 3 contre 3) il n’y a pas d’ordre chronologique à respecter dans l’ordre d’intervention des partenaires d’une équipe (comme au tennis en double) Engagement : à l’engagement, (au but) on doit dépasser une ligne. On peut par convention s’interdire d’en dépasser une autre placée plus loin (en primaire, sur de petits terrains, une ligne tracée au sol à environ 2m du mur pour des joueurs à main nue convient parfaitement et impose au buteur d’engager « franchement "). Le joueur qui engage interroge ses adversaires en disant « jo ? » (je joue ? ou je frappe ?) prononcer « dio ? » Ceux ci lorsqu’ils sont prêts répondent « jo ! » Marquer un point : après son renvoi au mur, celui qui ne remet pas la pelote dans l’aire de jeu donne un point à son adversaire. C’est le gagnant du point qui bénéficie de l’engagement suivant |
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