![]() Hier, justice et gendarmerie ont décidé de porter sur la place publique leurs recommandations de vigilance aux parents et aux enseignants des Pyrénées Atlantiques et des Landes après 5 tentatives d’enlèvements qui heureusement, se sont toutes soldées par des échecs. Mise en place dès les premières tentatives, à Bidache et Saint Jean de Luz, le 08 octobre dernier, une cellule enlèvement 64-40 est entièrement consacrée à cette enquête. Basée à la section de recherches départementales de la gendarmerie à Pau, elle est composée de 15 personnes: des gendarmes des 2 départements et des psychologues chargés, avec le peu d’indices dont ils disposent d’établir un profil type de la ou des personnes recherchées. Pour épaissir un faisceau d’éléments encore famélique, les enquêteurs comptent sur la détermination de chacun. Un numéro vert a été mis en place, le 0800 111 891. Parents et enseignants sont invités à être plus vigilants que d’habitude, à surveiller leurs propres enfants et à signaler tout comportement suspect. |
![]() Le comité de pilotage sur le bois de Pau créé en janvier dernier pourrait décider d’interdire le stationnement des voitures au bois de Pau. Cette instance cherche les moyens de préserver le site classé espace naturel sensible. Près de 14000 voitures passent chaque semaine dans cette forêt domaniale de 300 hectares. Le comité travaille actuellement à étudier toutes les solutions pour protéger ce site tout en le laissant accessible aux piétons, de créer des espaces de repeuplement des espèces rares, d’offrir des lieux d’observation de la nature. Des oiseaux remarquables, notamment des espèces de nuit, des coléoptères, des scarabées nichent dans cette forêt. C’est aussi un bois qui abrite des arbres anciens. L’idée du comité serait de proposer d’autres solutions pour se garer sans passer par le bois. Le classement du site en zone sensible permet d’obtenir des subventions pour réaliser ces projets. |
![]() Les bébés britanniques peuvent à nouveau sourire sur leur passeport, les règlements qui les obligeaient à adopter une expression "neutre" ayant été abandonnés faute de pouvoir être respectés. Des milliers de demandes de passeport avaient été rejetées ces derniers mois car l’enfant souriait sur la photo, avait les yeux mi-clos, ou encore ne regardait pas droit devant lui avec l’expression "neutre" réclamée. Le ministère de l’intérieur a annoncé que le Bureau des passeports britanniques avait assoupli les règles pour les moins de un an. "Une vraie ressemblance" est désormais retenue comme critère d’acceptation de la photo, sourire ou non. |
![]() Il y a des appareils photo si compliqués que, quand on a fini de faire le point sur un bébé, c'est déjà un soldat . José Artur (Parlons de moi, il n'y a que ça qui m'intéresse) |