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 A
quoi sert la carte scolaire "Dis moi de quelle école primaire tu viens, je te dirai dans quel collège puis dans quel lycée tu iras", c'est le principe de la carte scolaire née en 1963 lors de la création des collèges. Pour l'Inspecteur d'Académie des Pyrénées-Atlantiques, "le sens de cette organisation est d'offrir à tous les enfants les mêmes chances de réussite scolaire et ce principe de mixité doit permettre à l'école républicaine de demeurer un creuset où se côtoient des enfants issus de toutes les couches sociales même si la mixité scolaire ne dépend pas que de la carte scolaire". Elle va bientôt être révisée dans le secteur de Pau où l'on constate de gros déséquilibres d'effectifs entre les 4 collèges de la ville (Marguerite de Navarre, Jeanne d'Albret, Clermont, Jean Monnet). L'établissement de la carte scolaire est devenu en 2004 une compétence des départements, responsabilité partagée puisque l'inspecteur d'académie conserve celle de l'affectation des élèves. C'est lui qui accorde les dérogations qui ne concernent qu'un peu plus de 3% des cas (200 sur 6000). Le jeu des options perturbe souvent la logique du choix du collège (ou du lycée) de proximité et obéit parfois à une volonté de contournement de la carte scolaire. Il s'agit essentiellement des premières langues vivantes pour les collèges et des filières des lycées. |
 Trop
d'obèses L'obésité continue de progresser en France où l'on dénombre 5,9 millions d'obèses, soit 2347000 de plus qu'il y a 9 ans. Même si cette courbe tend à ralentir, ce n'est pas le cas des formes les plus graves selon une enquête baptisée ObEpi. A l'instar de nombreux pays, la France grossit. Elle compte désormais au total près de 20 millions de gens en surpoids ou obèses. En 9 ans, la population a grossi en moyenne de 2,1kg, grandit de 0,4cm et son ventre s'est arrondi de 3,4cm en moyenne. La fréquence de l'obésité reste inversement proportionnelle aux revenus. |
 Visibilité
= sécuritéSur la route, il faut être bien vu, il est également indispensable de bien voir. Les "feux de position" ne permettent pas de voir mais d'être vu. Les feux de croisement "codes" permettent de voir et d'être vu: à allumer le jour en cas de brouillard ou de neige. Les feux de route "phares" permettent de voir la nuit sur une chaussée totalement dépourvue d'éclairage aussi bien en agglomération que sur route. Les feux de brouillard ne sont autorisés que dans des situations précises: à l'avant en cas de forte pluie, de neige ou de brouillard, à l'arrière en cas de neige ou de brouillard. Il en coûte 135 euros et un retrait de 4 points en cas de mauvaise utilisation des feux et la même amende quand on circule la nuit ou le jour lorsque la visibilité est insuffisante, sans éclairage ni signalisation, en un lieu dépourvu d'éclairage public. Toutes ces recommandations sont également valables pour les deux roues. |
 La
phrase du jourLa véritable démocratisation de l'école est celle qui donne à chaque enfant le maximum de chances. Jacques Chirac (Orléans - Mars 1981) |
