L’opéra Mystérieux LA MYSTERIEUSE VOIX Le festival de l’opéra
Pascal et les spectres du théâtre Dangereuse rencontre ?
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L’opéra Mystérieux
Trois ados Yawo, Mathieu, Tom s’étaient rendus
à l’opéra pour fêter leurs retrouvailles mais une fois devant le
bâtiment les trois ados se mirent à frémir car le bâtiment était si
joli, si merveilleux qu’il n’en croyaient pas leurs yeux.
Mathieu s’exclama :
« Oh mais comment avons-nous pu nous payer ce luxe ?
-Si c’est ça les retrouvailles, on a bien de la chance, déclara Tom.
- C’est vrai que c’est beau ! s'écria Yawo.
Il rentrèrent dans le somptueux opéra et virent un guichet où se
trouvait une dame au teint pâle aussi pâle que l’on pouvait la confondre
avec un mort.
D’un coup, un froid glacial effleura le visage de Tom. Il eut peur.
Mathieu paya trois billets pour 23 heures.
Pendant l’entracte Yawo partit aux toilettes. Il ouvrit la porte et vit
soudain un miroir.
Il s’approcha, regarda le miroir et d’un coup le miroir se brisa en
mille morceaux.
Yawo essaya de fuir mais la porte était verrouillée alors qu’il n’y
avait pas de serrure.
Yawo tapa contre la porte plusieurs fois et quelqu'un alla lui ouvrir,
pris de panique, Yawo prit ses jambes à son cou et vint nous voir. Il
nous raconta l’histoire mais personne ne le crut. Comme Yawo insistait,
nous allâmes voir et nous vîmes le miroir intact et la porte avec sa
serrure.
Mathieu chuchota à l’oreille de Tom :
« Il est devenu fou ?
-Oui je pense, répondit Tom.
-Yawo, si tu dormais pendant la fin du spectacle ? Proposa Mathieu.
-Pourquoi ? demanda Iawo.
-Je crois que tu manques de sommeil. Tu deviens fou, dit Tom.
Le spectacle recommença. Yawo s’assoupit, Tom et moi aussi.
Mathieu se réveilla et dit :
« Humm que se passe-t-il ? Il n'y a plus personne sauf
nous ! »
Il réveilla Tom et Yawo
« L’opéra est fini ? j’entends quoi ? demanda Tom.
-Oui, moi aussi j'entends une symphonie déclara Iawo.»
Mathieu n’entendait rien.
Tom dit aux autres de le suivre. Yawo, malgré sa peur avança.
Tom passa devant mais il y eu un problème, il faisait noir. Alors
Mathieu sortit son téléphone, l’alluma et éclaira le couloir sombre.
Tom s’arrêta devant une porte, la symphonie s’interrompit alors il
décidèrent d’ouvrir tous ensemble. Mathieu ouvrit la porte et découvrit
une pièce encore noire. Ils entrèrent. La porte se ferma derrière eux,
Yawo vit l’interrupteur et alluma la lumière.
Mathieu, Tom et Yawo étaient troublés de peur.
Tom s’exclama « DU SANG ! DES CADAVRES !
-Ahhhhh ! Mais c’est une chose horrible » cria Yawo.
On entendit « Boum Boum Boum Boum ! »
-Des bruits de pas ? interrogea Yawo.
-Mathieu répondit « Peut-être »
D’un coup une partie du décor tomba sur la scène de la pièce, Yawo et
Mathieu craignaient de mourir.
Tom éclata de rire.
-Pourquoi tu rigoles, ça te fait rire ? » demanda Mathieu.
-Oui, répondit Tom.
D’un coup, ils virent une fille au milieu de la pièce avec une poupée à
la main, ses cheveux recouvraient son visage. Elle était couverte de
sang.
Tom dit : « Eh ! Oh ! »
D’un coup la fille regarda Tom d’un œil suspect. Elle avait les yeux
rouges et se mit à faire une symphonie en se balançant de gauche à
droite et en lançant un sourire vicieux. Yawo se déplaça vers la jeune
fille. Il lui tendit la main mais la jeune fille dit « Je vais
prendre votre âme et vous vider de votre sang ! ».
La fille prit la main de Yawo et lui mordit jusqu'à l’os. Il la poussa
d'un coup et elle tomba violemment par terre. Elle se releva sans aucune
égratignure et dit « Venez ! » D’un coup des fantôme
apparurent derrière elle et attaquèrent Tom, Mathieu et Yawo. Mathieu et
Tom se précipitèrent sur la fille et lui saisirent les bras et les
jambes. Yawo sortit une fiole d’essence, un briquet et arrosa la tête de
la petite fille.
Mathieu hurla : « Arrête ! Ce n’est pas la peine de faire
ça ! »
Yawo répliqua « elle est sûrement déjà morte de toute façon ».
Sur ce,
il alluma son briquet et le jeta à la face de la fille.
Triste histoire...
Etait-ce un rêve ou non ? A vous de le découvrir
Tom, Mathieu et Yawo
LA MYSTERIEUSE VOIX
Le premier novembre 2012, au grand théâtre de Bordeaux, un endroit magnifique et majestueux, se trouvaient un groupe d’amis : Emma 22 ans, brune aux yeux verts, costumière ; Camille, 22 ans, châtain aux yeux marron, maquilleuse et parfois aide costumière et Julien, jeune homme de 24 ans blond aux yeux bleus, metteur en scène.
Ce soir-là,
je travaillais avec les filles pour finir les préparatifs
pour le spectacle du lendemain soir. Il faisait
orage et il pleuvait. Emma recousait les robes abîmées, Camille,
elle,
testait
le maquillage et quant
à moi,
je préparais
les
décors. Après de longues heures de
travail, je m’endormis et les filles ayant terminé leur travail
partirent sans faire de bruit pour ne pas me réveiller.
Et là, d’un coup je me réveillais
en sursaut en entendant un
chant de jeune fille et en voyant des clignotements de lumières
tellement intenses
que j’y voyais de moins en moins bien. Je me dirigeais
alors vers le compteur électrique mais tout me sembla normal.
Pourtant les lumières étaient toujours aussi
éblouissantes. J’allais en direction de la scène pour voir d’où
provenait le chant, je constatais stupéfait
qu’il n’y avait pas d’individus
autres
que moi dans le théâtre.
Je me posai mille et une questions à
la fois.
« Suis-je fou ? Ai-je des hallucinations... ? »
Pris de panique, je courus vers la sortie et rentrai chez moi.
Le lendemain, encore sous le choc
de la veille,
je ne me trouvais
pas présent
à l’heure du rendez-vous. Emma et Camille ne me voyant pas
arriver, m’appelèrent
sous la pression du spectacle :
« -Pourquoi n’es-tu pas là !?
-Il m’est
arrivé quelque chose d’horrible hier soir.
-Que
s’est-il passé ?
-Je ne peux pas vous le dire au téléphone, j’arrive ! »
Je me rendis à la salle et leur expliquai le drame. Les filles me rirent au nez n’y croyant pas. Vexé, je rentrai chez moi en claquant la porte du théâtre. Le soir-même, je restais chez moi encore en colère.
Les filles, elles, n’avaient pas le temps de penser à moi car le spectacle allait bientôt commencer mais soudain le chant reprit, les lumières se remirent à clignoter et les sièges claquèrent. Les filles affolées se rendirent compte que je disais vrai. Alors elles m’appelèrent pour trouver une solution aux problèmes. Je courus aussi vite que je le pouvais car les spectateurs attendaient déjà devant la porte. Je me dépêchai d’aller voir ce qui provoquait cet étrange phénomène. Pris de terreur à la vue de cette chose inhumaine, je m’évanouis. Je me réveillai quelques minutes plus tard sans savoir où j’étais. Mais ça y est, je sais, je suis mort, je suis au paradis.
Pauline, Lisa et Julie.
Le festival de l’opéra
A 22h30, le vendredi 13 mars 2013, Jean Xavier, un
écrivain français âgé de 42 ans se trouvait au grand festival de
Bordeaux, place de la Comédie qui, pour l’occasion, accueillait 1500
personnes. L’ambiance était gaie, tout le monde était heureux. A 23
heures Nathalie Dessay apparut sur la scène pour chanter. Sa voix était
tellement belle à écouter qu’elle entraînait tout le public avec elle.
A 23 heure 30, Stéfano Ferrari fit son entrée sur scène. A son arrivée,
Jean Xavier se sentit mal et il alla prendre l’air dehors en fumant une
cigarette. En revenant, il s’assit sur la première chaise venue puis le
mal de tête revint soudain. Il vit que les statues de l’opéra
commençaient à s’animer. Cinq minutes plus tard, les lumières se mirent
à s’éteindre.
Jean Xavier se mit à trembler de terreur et la peur le paralysait. Il
était le seul à voir que les statues bougeaient. Il se posait de
nombreuses questions:
-«Ai-je trop fumé, suis-je hanté?»
Tout à coup il vit une statue qui vint le frapper sur la tête. Jean se
mit à trembler de hantise, de crainte. Il était terrifié...Choqué, il
accosta un spectateur.
« Excusez-moi , vous aussi vous voyez des statues qui bougent ?
- Mais qu’est-ce que vous dites ? Êtes-vous fou ?
- Mais non, je vous promets, je suis sensé. Je vois des statues
bougeaient depuis le début du festival . »
Le spectateur partit.
Quelques minutes plus tard il sentit quelqu’un qui soufflait dans son
cou, il était terrifié, il avait les larmes aux yeux..
- « Cela devient critique ! Je suis possédé quelqu’un m’en veut ? »
Jean, inquiet, décida d’appeler un médecin. Arrivé dans le cabinet, il
demanda à son médecin.
- « Bon..bon..jour , je viens vous voir parce que je pense être hanté. »
Le médecin l’ausculta , et lui dit :
« Bon j’ai une bonne nouvelle monsieur. Vous n’avez rien du tout,
rassurez-vous. Vous n’êtes pas possédé.»
Jean eut un moment de réflexion :
- « Je sais ! Je sais ! dit-il. Dans ma cigarette il y avait du cannabis
».
Ayoub, Manon et Célia.
Pascal et les
spectres du théâtre
Pascal était un riche marchand d’œufs qui adorait le théâtre et les
romans. Il était grand, brun, les yeux bleus et âgé de 39 ans. Il avait
une cinquantaine de poules qui pondaient chaque matin exactement 123
œufs qu’il revendait ensuite au marché de Bordeaux. Il vivait dans une
maison luxueuse avec une grande salle à manger, un grand salon et un
immense bureau où il comptait chaque jour les œufs qu’il avait vendus.
Il avait lu un roman qui parlait d’une fille qui avait vu le fantôme de
son père. Cette fille, c’était l’ancienne propriétaire de la maison en
face de celle où vivait Pascal. Un panneau, avec marqué «A VENDRE»,
était accroché sur la maison mais jamais personne ne la visitait.
Un jour, pendant qu’il vendait ses œufs, il entendit un jeune homme
crier «Le Grand-Théâtre de Bordeaux ouvre ses portes pour un spectacle
d’illusion, Vendredi soir à 19h30 !». Alors Pascal ferma sa boutique, se
hâta de rentrer chez lui et enfila ses plus chics vêtements pour aller
au théâtre. Il alla au théâtre à 19h00 pour ne rien rater.
Il attendit alors trente minutes en se promenant dans la rue
Sainte-Catherine. Quand 19h30 arriva, il se précipita devant le théâtre
de Bordeaux. Il s’installa aux premières loges de ce fameux spectacle
d’illusion. Quand le spectacle commença, de la fumée blanche jaillit du
sol et un magicien apparut dans la brume épaisse. Le magicien enchaînait
quelques tours quand soudain, Pascal vit un homme et une jeune-fille à
moitié transparents traverser la salle pour rejoindre la scène. Pascal
crut d'abord qu’ils faisaient partie du tour. Mais personne ne leur
prêtait attention. Alors il les suivit des yeux pendant qu’ils se
dirigeaient vers la scène. Ils montèrent sur la scène, s’approchèrent du
magicien et le traversèrent pendant qu’il était entrain d’exécuter ses
tours. Et ils disparurent comme si de rien était... Pascal pensa que
c’était une illusion. Alors à la fin du spectacle, il alla demander au
magicien si l’homme et la jeune fille qu’il avait vus faisaient partie
du spectacle.
Le magicien, qui était en train de se faire complimenter sur son
spectacle, lui répondit que non, sans s'en préoccuper plus que ça. Alors
Pascal rentra chez lui et il s’endormit dans le silence et le calme...
Yoann, Lucas et Florian
Dangereuse rencontre ?
Alicia était une jeune lycéenne sans problème, gentille, généreuse. Elle était brune aux yeux marron. Elle était très sportive ; elle faisait de la gymnastique et de l’athlétisme. Alicia adorait les romans fantastiques, les chiens et cuisiner.
Un soir d’hiver, elle se promenait le long du théâtre de Bordeaux. Et tout à coup, son téléphone sonna. Elle alla derrière le théâtre et répondit :
« Allô ?
Bonjour Alicia.
Qui êtes-vous ?
Mieux vaut pas que tu le saches.
Et pourquoi ?
Ne t’inquiète pas, tu le sauras bientôt. Au revoir Alicia.
Atte.... »
Son interlocuteur lui avait raccroché au nez. Alicia retourna au théâtre comme si de rien n’était et oublia cette histoire en pensant que c’était une mauvaise blague. Mais avant qu’elle ne franchisse la porte d’entrée du théâtre, une main humide l’attrapa par derrière et la fit monter de force dans une voiture noire. Elle avait si peur de ce qui allait lui arriver qu’elle fit un malaise.
Quand Alicia se réveilla, elle remarqua qu’il y avait, à côté d’elle, un jeune homme séduisant. Il s’approcha d’elle et lui demanda :
« Comment te sens-tu ?
Bien, merci. Où suis-je ?
Tu n’as pas besoin de le savoir pour l’instant .
Alicia se sentait très mal à l’aise.
Pourquoi suis-je ici ? Que voulez-vous de moi ? Je ne suis qu’une simple étudiante !
Tu le sauras dans peu de temps. »
Et le jeune inconnu s’en alla. Elle essaya de le suivre mais elle reçut un coup à la tête et sombra dans un sommeil profond. Elle fit un cauchemar très étrange. Dans son cauchemar, elle était dans une forêt sombre. Soudain, elle entendit un cri comme celui d’un loup-garou. Elle prit ses jambes à son cou et courut de toutes ses forces dans l’espoir de trouver de l’aide.
Et tout à coup, un homme surgit de nulle part devant Alicia et se transforma en loup-garou. Terrorisée, Alicia ne pouvait pas faire un mouvement. Le loup-garou sauta sur elle et la mordit dans le cou. L’animal s’en alla et laissa sa victime gisant seule sur le sol dans la forêt. Alicia perdait beaucoup de sang et commençait à perdre connaissance, quand soudain, un homme surgit de nulle part et emmena la jeune fille en sécurité.
L’inconnu soigna Alicia. Elle se réveilla quelques instants plus tard dans une sorte de hangar. Quand elle le vit les yeux, elle reconnut le mystérieux garçon de l’autre fois. Tout d’un coup, son cœur se mit à battre la chamade et elle devint toute rouge. Le garçon lui demanda:
Est-ce que tu vas bien ?
Oui, je te remercie de m’avoir sauvée la vie.
Ce n’est rien. Comment tu t’es retrouvée dans cette forêt ?
Je n’en sais rien. Je croyais que c’était juste un cauchemar, mais en fait, c’était la réalité.
Tout est de ma faute …
De quoi ?
Si tu es dans cet état, c’est de ma faute, on n’aurait jamais dû se rencontrer.
Mais de quoi parles-tu ?
Mais de mon frère !
Tu as un frère ?
Oui et nous ne sommes pas des humains.
Cette bête … Hier soir … C’était ton frère ?
Oui, c’est un loup-garou.
Et toi ?
Je suis un vampire
Oh … Mon … Dieu !!!!!!
Il s’approcha d’elle. Mais Alicia cria de toutes ses forces :
Au secours ! A l’aide ! Toi, ne t’approche pas de moi !
Mais … S’il-te-plaît ! Écoute moi ! Et après tu pourras t’en aller.
T’écouter ? Après ce que tu m’as fait ? Tu peux toujours courir !
S’il-te-plaît ! Donne-moi cinq minutes pour tout t’expliquer !
Bon, cinq minutes. Pas plus.
Bon, pour commencer, je m’appelle Stefan et mon frère Dan. Je suis un vampire et lui un loup-garou. Le fait que tu aies été mordue par mon frère n’est pas normal pour une humaine sauf si celle-ci fait une rencontre avec une créature surnaturelle. Dans ton cas, tu m’as rencontrée et mon frère a réussi à t’emmener dans ce qu’on appelle le cauchemar réel. Il faut trouver un moyen de te sortir de ce cauchemar. »
Soudain, un des murs du hangar fut projeté et un loup-garou surgit de l’ombre. Sous les yeux d’Alicia, il se transforma en un humain parfaitement ordinaire. Le frère du vampire se matérialisa devant la jeune fille.
Stefan qui était en colère, lui demanda :
Qu’est-ce que tu fais là ?
Oh ! Je pensais que tu serais heureux de me voir.
Dan jeta un coup d’œil vers Alicia.
Et en plus tu es en charmante compagnie à ce que je vois.
Va-t-en ! Tu n’as rien à faire ici ! Laisse-là en dehors de ça !
Eh bien, en fait si, j’ai quelque chose pour toi.
Qu’est-ce que c’est ?
La solution pour faire sortir Alicia de son « cauchemar réel ».
Tu mens ! Et pourquoi nous aiderais-tu ?
Non je dis la pure vérité. Et je vous aide pour nous éviter de très gros problèmes.
Alicia, qui ne disait rien depuis le début de la conversation, s’écria :
Bon ça ne sert à rien de s’énerver, Dan, si tu sais quelque chose qui pourrait me faire sortir de ce terrible cauchemar, dis le moi !
Bon pour commencer je t’ai amené une vielle amie pour t’aider à sortir de cet enfer.
Et là, une femme avec une robe, entra dans le hangar, elle avait les yeux d’un bleu roi.
Bonjour Alicia, je me nomme Cynthia et je suis une sorcière.
Dan regarda Alicia et lui raconta que Cynthia était une sorcière de haut rang et qu’elle allait lui jeter un sort lui permettant de l’oublier lui et son frère et donc lui effacer le « cauchemar réel ». Alicia regarda Cynthia :
« Je suis prête. Vous pouvez commencer.
Bien, alors commence par t’allonger et respire calmement. »
Alicia inspira et expira. La sorcière commença à citer des paroles en latin.
Elle était comme possédée. Quelques minutes plus tard, elle s’arrêta de parler :
C’est fini, le sort est levé.
Alicia se réveilla en se demandant où elle était et repartit vers le théâtre de Bordeaux comme si de rien n’était.
Maud et Nadia