Avant la sortie au cinéma :
Alice a déduit de
l'analyse de l'affiche qu'il s'agissait probablement d'une "comédie
romantique" ou
d'une "comédie musicale", car " il y a un
couple au "premier plan qui marche en dansant ", ce qu '
a
confirmé Lolita, en ajoutant qu'" en arrière plan" : il y a un
spectacle...",
" comme au cabaret "a précisé Mathias.
En observant qu'il
s'agissait d'un dessin aux couleurs artificielles et
non d'une photographie ressemblante
( comme sur l'affiche de
Libéro ), Nina pour sa part a formulé l'hypothèse qu'il
s'agissait vraisemblablement
d'une histoire plus romancée ou plus fictive que réaliste..
L'objet du film ?
Un parapluie
... Mais pas de Cherbourg !
Après le visionnement du film:
Tomana et Minerva ont
apprécié ce film, même
s'il leur a été dificile de lire tous les
sous titres très rapides : " encore une
version originale sous-titrée en français !"
Clément quant à lui, a
trouvé très intéressante " l'histoire " des origines "du cinéma
parlant ", évoqué par une mise en abîme du film dans
le film. Ils sont plusieurs à
avoir constaté que c'est cette originalité du scénario qui
permet de faire, tour à tour,
un inventaire des styles ( imitations de danseurs
classiques, etc.) et des genres
( comme celui du film de cape et d'épée, tourné en noir et
blanc et donnant lieu à un
enchaînement de cascades ).
Kevin pour sa part a confirmé qu'il
s'agissait bien d'une comédie musicale, mais qu'à
certains moments, le réalisateur S.Donen, issu du
music hall, orchestrait la rencontre
amoureuse sur le mode du "comique ", pour donner naissance
au genre burlesque.
La majorité des élèves a
été impressionné par par la virtuosité des acteurs/danseurs,
par le dynamisme de la mise en scène et des mouvements de
caméra, comme le travelling et la
plongée/contre-plongée, par exemple.
Clara a remarqué " la
ressemblance" entre la performance d'acteur/danseur de " Gene Kelly " et
celle de
"Jean Dujardin" dans the Artist, acteur ayant
ausi débuté sur les planches et film évoquant d'ailleurs aussi les
origines du cinéma.
Ils ont
aussi trouvé très drôles les scènes de
doublage de la
star
magnifique mais à la voix insupportable, qui résume bien les difficultés
techniques des débuts du
parlant et laisse entrevoir judicieusement les coulisses
de la machine à rêve ! Les jeux de décalage entre l'image et le son
les ont interpellés ; tout comme comme
l'écart entre la relation amoureuse interprétée
par les acteurs
et la relation entre les personnages
correspondants qui se détestent !
Ils ont reconnu cette bande originale et notamment
la chanson célèbre qui a donné son titre au film, et qui
permet de comprendre finalement que ce film est aussi
l'histoire de sa propre génèse, de son
making of.
Au delà des apparences, un spectaculaire hymne à l'Amour, avec of course : a beautifull Hollywood 's happy-end !
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