Les nouvelles policières de 5°B

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        LE CRIME DE NOEL                        UN CRIME A LISIEUX                            QUI EST LE TUEUR ?

    Un meurtre au parc...                        UN JOUR PAS COMME LES AUTRES             Meurtre dans la ruelle

                   L'ETRANGE VOL DE LA BANQUE DE ROME                                         Sans titre

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LE CRIME DE NOEL

C’était un jour comme les autres jours, sauf que mon frère Jack devait venir me rendre visite pour Noël. Je venais d’emménager dans ma nouvelle maison à Liverpool avec ma femme et mes deux enfants.

Soudain, la sonnette retentit et ma femme qui cuisinait, me dit :

«Michael, Jack sonne !

-J’y vais ! »

J’ouvris la porte et là, je vis mon frère, plus heureux que jamais.

«Viens à table, dis-je, ma femme a préparé un bon repas.

-Oui, dit ma femme, j'ai préparé un bon cassoulet !»

Le temps que j’aille au téléphone et on pourrait commencer à manger. Comme je suis policier, j’avais dû forcer mon patron à me laisser ma soirée de congé. Soudain j’entendis un raffut énorme. J'allai dans la cuisine et là, je vis mon frère et ma femme morts. J’appelai mon patron pour mener l’enquête. Quand l’équipe arriva, nous nous mîmes tout de suite au travail. Les policiers recherchaient tout ce qui pouvait être l’arme du crime, quand soudain, en ouvrant la plaie de mon frère, on y trouva l’arme. C'était un couteau en or, caché à l’intérieur de son corps.

« Je n’ai trouvé aucune empreinte, dit un des policiers. L'assassin portait des genres de gants blancs en laine.

-Moi, indiquai-je, j’ai trouvé ce bout de tissu rouge accroché à un bout de la fenêtre, cela appartient sûrement à notre coupable !

-Allons interroger les gens, ordonna mon supérieur.»

On sonne à la porte des voisins :

« Bonjour monsieur !

-Les flics, que faites-vous ici ? demanda l’individu. Cassez-vous !

-On vous emmène au poste pour vous interroger, dis-je.»

Après un long trajet, nous arrivâmes au poste pour un interrogatoire musclé.

« Alors monsieur, quel est votre nom ? demanda l’enquêteur

-Je m’appelle Jean Naipas, répondit l’individu,

-Que faites-vous dans la vie, reprit l’enquêteur.

-J’me suis fait virer de mon boulot il y a un mois, alors pour payer mes factures, j’me déguise en Père-Noël et je donne des bonbons aux enfants. Je les aime bien les enfants. Ils sont contents quand je leur donne des bonbons.

-En père-Noël ? interrogea l’enquêteur. Exactement le même tissu que l’on a trouvé... Et d’ailleurs, en fouillant votre maison, on a trouvé ce joli service de table en or dans lequel il manque un couteau.

-Oui, j'avais prévu de venir vous voir pour ça, affirma le suspect. Quand je suis rentré chez moi ce soir, tout était retourné et je m'étais fait voler mon costume et mon couteau en or.

Le soir-même, nous partions en voiture pour aller chercher ce Gérard et l’interpeller. Arrivés chez lui, nous trouvâmes une maison vide, sale avec au milieu de la pièce un costume de Père-Noël ensanglanté, tout déchiré dans un piteux état. Soudain nous entendîmes un cri d’enfant,

« Si vous ne partez pas tout de suite, dit l’accusé, je saigne les gosses !

-Gérard, fais pas l’idiot ! répondit l’inspecteur, Lâche-les tout de suite et aucun mal ne te sera fait !

-Pour aller en taule, plutôt crever !

-Ces enfants n’ont déjà plus de mère. Ne les fais pas souffrir davantage, s’il te plaît, dit l’inspecteur.

-Lâche mes enfants tout de suite si tu ne veux pas alourdir ta peine, ordonnai-je, Lâche-les !

-Nan, jamais, répondit l’accusé. »

Un policier arriva derrière l’homme, le frappa à la tête, lui mit les bras dans le dos, le menotta et on l’emmena au poste. L’accusé ne nous donna jamais de mobile mais il alla en prison jusqu'à la fin de sa vie. Il s’est fait tuer là-bas.

« Alors papa, c’est comme ça qu’elle est morte maman ?

-Oui, on retiendra jusqu’à la fin de notre vie le nom de Gérard Mensoif, le tueur de Noël !

-Allez papa, parlons de choses plus gaies.

-Oui, Joyeux Noël !

FIN☻

Wim et Walid

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UN CRIME A LISIEUX


Dans une petite ville nommée Lisieux dans le nord de la France vivait une jeune fille qui s’appelait Lucie Fanouage. Cette fille avait 19 ans, des cheveux blonds, des yeux bleus et un visage pâle. Elle venait d’emménager dans un appartement neuf dans le centre ville de Lisieux. Alors qu'elle regardait par sa fenêtre, elle vit que les gens étaient agités. Elle sortit pour voir ce qui se passait. C’était la fête de la ville, il y avait de la musique, et des spectacles en tous genres. Elle se balada et regarda les stands placés autour des spectacles et le long des rues. Elle y trouva un bar où boire une boisson rafraîchissante. Elle rentra approximativement vers 19h pour manger mais elle hésita à manger sur place. Puis bien réfléchi, elle se décida à rentrer. Pendant qu’elle rentrait chez elle, elle entendit un coup de feu. Elle vit une personne sortir de l’appartement à toute vitesse en dévalant les marches de l’escalier. Elle crut avoir reconnu cette personne, mais elle ne put l’identifier. Inquiète, elle se décida à monter les marches de l’escalier. Elle trouva la porte de l’appartement voisin entrouverte et découvrit son voisin mort sous ses yeux. Elle courut vers lui, puis en larmes, appela la police :

« Venez vite, cria Lucie en larmes.

- Calmez-vous mademoiselle. Dites-moi où vous vous situez.

- Je suis au 89 avenue Banga, dit-elle en pleurant.

- Ok, nous arrivons tout de suite ».

Dix minutes après, la police arriva.

Un agent nommé Léon Mandela vint à sa rencontre :

« Désolé, pour le retard, la ville était très agitée, dit Léon Mandela, puis-je vous poser quelques questions ?

- D’accord, je répondrai à vos questions.

- Premièrement, avez-vous remarqué quelque chose d’anormal ces temps-çi.

- Non, à part cet homme qui me semblait confus ces temps-ci.

- D’accord, deuxièmement, comment avez-vous découvert le corps ?

- Je l’ai découvert en rentrant de la fête de la ville, vers 19h.

- Dernière question, avez-vous vu le tueur ?

- Eh bien, je crois l’avoir vu mais je n’en suis pas sûre. J’ai vu un homme quitter les lieux à toute vitesse.

- Bien, merci de vos renseignements. Nous vous rappellerons dès que nous aurons de nouvelles informations. Encore merci. Au revoir.

- Merci, dit-elle soulagée».

La police prit les moindres indices qu’ils trouvèrent.

En premier, les policiers prirent le corps, ensuite, ils cherchèrent l’arme du crime qui pouvait correspondre à la plaie qui était profonde et nette. Trente minutes s’écoulèrent jusqu'à ce qu’un homme cria :

- «Mrs, venez vite, je crois avoir trouvé l’arme !

- Vous en êtes sûr ? Cela pourrait totalement changer le cours de l’enquête.

- En fait, je n’en suis pas certain mais l’objet en question est dans la benne à ordure. Ca m’étonnerait que le criminel l’ait laissée là.

- MAIS, c’est un REVOLVER. Ca pourrait tout à fait correspondre, ce qui m’inquiète surtout c’est qu’on le retrouve dans la benne à ordure.

- Cela signifie qu’il est encore, soit dans l’immeuble, soit aux alentours ».

Avec cette nouvelle, la police se mit à sa recherche.

Lucie se demandait ce qu’il se passait tant il y avait d'agitation :

« Pourquoi mon voisin aurait été ciblé, se demanda t-elle d’un air soupçonneux. Qui aurait pu lui vouloir du mal ?».

Après, des minutes et des minutes, elle trouva peut-être une réponse à sa question : Hugo Diadalent. Cet homme avait fait 5 ans de prison pour toutes sortes de petits délits (notamment de nombreux vols) puis avait été relâché pour bonne conduite. Mais depuis qu’il était sorti de prison, il voulait venger la mort de sa fille, morte dans un accident de voiture le 24 décembre, en rentrant chez elle un peu ivre.

Depuis, Hugo Diadalent en voulait au voisin de Lucie qu'il accusait d’avoir renversé sa fille. Le soir à 23h30, Hugo Diadalent était donc dans les alentours de la maison pour aller voir son œuvre. Il fallait donc prévenir Léon de l’arrivée incertaine de ce criminel assoiffé de vengeance :

« M. l’inspecteur, M. l’inspecteur, je crois me souvenir qu’il avait un ennemi nommé Hugo Diadalent. C’était un voleur.

- Ah bon ? vous en êtes sûre ? Vous croyez qu’il va retourner sur le lieu du crime.

- Certaine.

- Ok, on arrive tout de suite ».

Quinze minutes s’écoulèrent, la police arriva et vit Hugo Diadalent sur le lieu du crime. Une course poursuite commença.

Hugo traversa la maison de la victime pour atterrir sur les escaliers de secours et monter sur le toit.

Hugo monta sur le rebord du toit et essaya de se suicider :

- « Ne faites pas ça Hugo, nous pouvons vous obtenir une plus petite peine : 20 ans minimum, dit Léon.

- Je préfère mourir que d’avoir à payer une peine de 20 ans pour ce meurtrier.

- S’il vous plaît, ne faites pas ça. Dès que votre peine sera finie, tout sera comme avant ».

Hugo réfléchit pendant un moment et décida de …

Damien, Tom et Enzo

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QUI EST LE TUEUR ?


 

Un soir, pendant une fête, un homme nommé Richard Das qui était plutôt mal rasé et surtout alcoolique se battit avec des gens.

Soudain le voisin appela la police. L’inspecteur Oscar arriva, il était habillé avec un grand manteau marron, des rangers et il portait des lunettes grises. Il fit sortir tout le monde. Richard poussa l’inspecteur. L’inspecteur rentra chez lui en rage. Le chef de la police appela l’inspecteur et lui dit : << Hier, il y a eu crime. Monsieur Richard Das est mort. Allez enquêter sur les lieux du crime >>. L’inspecteur arriva chez Richard, il trouva un bout de tissu sur le sol, il l’envoya au laboratoire. Le lendemain matin, le laboratoire lui envoya les résultats. C’était un bout de pyjama, l’inspecteur se demanda comment ce bout de pyjama était arrivé ici. Il rentra chez lui et il vit que son pyjama était déchiré, il crut au début que c’était une coïncidence mais ça ne s’arrêta pas là. Son pyjama était de la même couleur que celui qu’il avait trouvé sur les lieux du crime. L’inspecteur paniqua. Il pensa qu’il y avait forcément une explication. Il alla au laboratoire pour faire analyser son pyjama. Les résulats étaient les mêmes que ceux de la scène de crime. Pour ne pas éveiller les soupçons, il dit à la personne qui s’occupait du laboratoire qu’il avait trouvé ce bout de pyjama sur la scène du crime sous un meuble (évidemment ce n’était pas vrai).

L’inspecteur repartit sur la scène et se débarrassa du pyjama. Il le mit sur le lit. Mais quand le chef de la police arriva, il remarqua que le pyjama n‘était pas là avant. Le chef de la police pensait que le criminel se débarrasserait de la preuve donc il déduisit qu’il reviendrait pour jeter les autres preuves. Alors il appela Oscar et lui dit: <<Venez, une personne est rentrée hier pour se débarrasser d’une preuve. Il reviendra peut-être pour enlever d’autres indices. La nuit tomba, les inspecteurs étaient cachés dans la chambre. Un homme rentra par la fenêtre et fouilla toutes les chambres. Tout à coup, ils allumèrent les lumières et l’inspecteur cria : << Vous êtes en état d’arrestation. >> L’homme dit qu’il s’appelait Antony et qu’il était le frère de Richard. Quand la police vérifia, ils trouvèrent que ce qu’il disait était vrai. Alors l’inspecteur passa à l’interrogatoire. Antony lui dit que dès qu’il avait appris que Richard était mort, il avait décidé de venir sur la scène du crime pour vérifier. Le chef de la police ne sut pas s’il lui disait la vérité alors le temps de vérifier il le mit dans une cellule tout seul. Le chef de la police pensa que tout ce qu’il leur dit était faux. Il resta enprisonné trois mois puis il passa devant le juge.

La cour est ouverte” cria le juge.

Quand il lui eut tout raconté le juge dit qu'il était coupable.

Tout à coup l’inspecteur se leva et dit: << NON ! c’est moi le coupable >> .

Pendant tout le temps de l’enquête, l’inspecteur cherchait de son côté comment son pyjama avait pu arriver sur la scène du crime et il comprit que c’était lui le vrai coupable.

 

Quentin, Arthur et Radouane

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Un meurtre au parc...

C’était un samedi d’été. Emilie, Louis, leur chien Maxa et leur amie Jessica se rendaient au parc public pour pique-niquer comme tous les samedis. En chemin, ils croisèrent leur voisin M. Maxime. En arrivant au parc, ils s’installèrent sous un arbre à l’ombre.

Emilie dit à Jessica :

«Tu pourrais m’aider à installer le pique-nique s’il te plaît ?

-Oui, avec plaisir, Emilie.

-Louis, tu pourrais attacher Maxa s’il te plaît.

-Oui, ma chérie. »

Ils s’installèrent sur la couverture et ils se racontèrent les anecdotes de leur enfance. Ils se mirent à rire, à rire, à rire tant qu’on les entendait jusqu'au bout du village. Le temps passa, ils décidèrent d’aller se balader dans le parc.

Jessica dit à Louis:

«N’oublie pas de détacher Maxa de l’arbre.

- Oui.

-Tout le monde est près.

-Oui, on peut y aller.»

Ils commencèrent à faire le tour du parc puis après quelques temps ils s’arrêtèrent sur un banc puis s’amusèrent avec Maxa. Louis partit chercher quelque chose à boire. Pendant ce temps, les deux amies discutaient de tout et de rien.

Jessica dit:

«Elle est trop mignonne. Quel âge a-t-elle ?

-Elle a 2 ans depuis une semaine.

-Elle est jeune, elle est de quelle race?

-C’est un golden retriver.

-J’adore cette race. Ce sont de très beaux chiens.

Sur le chemin du retour, Louis croisa le voisin, M. Maxime. Il rejoignit les filles et ne vit plus Maxa.

Louis dit :

« Où est Maxa ?

-Je ne sais pas. Elle était là il y a deux minutes.

Il se mirent à sa recherche et crièrent MAXA, MAXA, MAXA ! Louis vit des traces de pattes. Jessica décida de partir à sa recherche. Elle courut entre les arbres, s’arrêta devant un fossé, puis elle entendit un aboiement et vit Maxa blessé sur le point de mourir. Louis et Emilie arrivèrent et, voyant Jessica avec du sang sur elle, elles pensèrent que c’était elle qui avait tué leur chien Maxa. Emilie dit :

« Mais qu’est-ce que tu as fait à notre chien, je te déteste !

- Ce n’est pas moi qu’il l'ai tué. Je vous le promets » se défendit Jessica.

Jessica partit en pleurant. Louis et Emilie décidèrent d’appeler la police et quelques minutes plus tard ils arrivèrent.

* * *

Les policiers inspectèrent le lieu du crime et virent des traces de pieds, plutôt de grande taille. Un policier mesura la trace et il affirma que le coupable faisait du 45. Emilie se tapa le front tellement fort qu’un bruit résonna : «Je suis trop bête. Cela ne peut pas être Jessica la coupable, elle ne fait que du 39. Cela veut dire qu’une autre personne en voulait à notre chien et que j’ai accusé Jessica à tort. »

Les policiers suivirent les traces. Les traces menaient en dehors du parc dans une rue sombre. La rue se nommait «la rue du pin » Dans cette rue vivaient Louis, Emilie, leur voisin M. Maxime... Les traces s’arrêtaient là. Louis proposa à Emilie de rentrer à la maison pour laisser les policiers faire le travail mais Emilie refusa car elle voulait absolument retrouver Jessica pour se faire pardonner. Emilie décida de se diriger vers la maison de cette dernière. Elle frappa à la porte mais n’entendit aucune réponse. Elle décida de partir puis vit son amie arriver de l’autre bout de la rue. Elle alla la voir et dit :

«Jessica, je suis désolée de mon comportement et de t’avoir accusée à tort. Tu pourras me pardonner un jour ?

-Pourquoi ? Ca y est, ce n’est plus moi la coupable ? Tu ne m’accuses plus d’avoir tué ton chien? répondit-elle d’un ton ironique.

-Non, car nous avons trouvé des traces près du corps, trop grandes pour être les tiennes.

-Laisse-moi réfléchir un peu...Ca ne se pardonne pas comme ça. Tu as quand même accusé ta meilleure amie !

* * *

Les policiers interrogèrent le voisinage. Voilà venu le tour de M. Maxime. Le policier interrogea le voisin, lui demanda sa pointure de chaussures et il répondit 45. Il continua à l’interroger.En repartant il vit une paire de chaussures pleines de bout. Il regarda avec insistance et vit des taches de sang alors il lui demanda :

« Où étiez- vous de 15h à 16h ?

-J’étais au parc .

-Et qu'y vous  faisiez-vous ?

-Je faisais une promenade.

Je vous arrête pour le meurtre du chien.Vous êtes en état d’arrestation à partir de maintenant.

Jessica revint sur le lieu du meutre et alla parler à Emilie :

«Je te pardonne de m’avoir accusée à tort. On n’en parle plus.»

Le voisin fut arrêté. Les trois amies rentrèrent chez eux.

Alysa, Gwladys et Elodie

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UN JOUR PAS COMME LES AUTRES 
 

Le célèbre jeune couple Walker s’apprêtait à partir dans le sud de la France pour se libérer des paparazzis . Mickael était déjà un célèbre acteur de 28 ans. Il était brun et il aimait beaucoup pratiquer le sport. C'était un mari très attentionné. Elena était une belle femme blonde de 27 ans qui pratiquait le mannequinat depuis sa plus jeune enfance. Elle était toujours aux petits soins pour son mari.

« Chérie, as-tu préparé tes valises ?

-Oui, presque ! »

A leur habitude, les Walker prirent leur petit déjeuner en compagnie de leur manager avant de commencer une grosse journée de travail . Mais ce matin-là n’était pas comme les autres …

Après un petit déjeuner en tête à tête très rapide, ils partirent en voiture.

Quelques heures de route plus tard, les Walker arrivèrent à Saint Emilion.

« Ah, enfin arrivés sur la terre ferme après ces heures de route épuisante !

-Où as-tu réservé notre chambre ?

-J'ai réservé une chambre dans une auberge pour ne pas éveiller les soupçons sur notre venue à Saint-Emilion. »

Ils demandèrent à un passant où se trouvait l’auberge de la ville.

« Tout droit, leur répondit-il, puis tournez au rond-point à la première sortie et vous trouverez l’auberge à votre gauche.

-Merci monsieur ! »

Ils suivirent l’itinéraire indiqué et arrivèrent à l’auberge.

Ils allèrent à la réception. Elena sonna sur la petite sonnette qui se trouvait sur le comptoir.

DRING, DRING !

Une femme surgit de nulle part :

« Bonjour, j’ai réservé une chambre au nom de Clarkson.

-Bonjour monsieur ! Je regarde dans mon registre. Oui voilà. Je vous ai trouvé. Voici la chambre 317. »

La femme lui tendit la clé, Mickael la saisit mais la femme ne la lâcha pas. Elle le regarda fixement.

« N’êtes-vous pas Mickael Walker ? Vous avez une forte ressemblance avec lui, dit-elle d'un ton interrogatif.

Il lui arracha la clé des mains.

«  Non, vous devez faire erreur. Que ferait M.Walker ici ? répondit Mickael mécontent.

- Excusez-moi M.Clarkson, passez un bon séjour .

- Merci ! répondit-il d’un ton sec »

Ils montèrent dans leur chambre main dans la main.

« La prochaine fois, sois moins arrogant. Je n’aime pas ce côté que tu as. Toi qui es si doux et tendre ! s’exclama-t-elle.

- Désolé, mais on a failli se faire démasquer !

- Bon ce n’est pas grave. J’ai découvert en passant devant un panneau, une grange glauque et lugubre tout comme on aime ! »

Ils partirent se changer puis se couchèrent.

« On verra ça demain, je te le promets. Bonne nuit, je t’aime. » Dit-il amoureusement.

De bon matin Elena était toute excitée à l’idée de visiter cette mystérieuse grange qui se situait dans Saint-Emilion.

Main dans la main, ils traversèrent les rues de la ville et arrivèrent devant cette poussiéreuse vieille maison.

« Ah formidable ! J’aime beaucoup ce genre d’endroit ! dit Mickael .

-Oui, mais c’est moins glauque que je l’imaginais. C’est plutôt très vieux et poussiéreux s’exclama t-elle.

- Je vais chercher des croissants. Tu désires quelque chose d’autre ? demanda amoureusement Mike.

- Des chocolatines s'il y en a. Merci ! A toute à l’heure.

- A tout de suite.

Mickael partit à la recherche d’une boulangerie.

La jeune femme allait vers l’inconnu en se dirigeant vers cette mystérieuse grange.

Elle toussa en raison de la quantité de poussière.

-Beurk ! Cette grange n’a vraiment pas était nettoyée depuis un bon moment.

Ne sentant aucun danger, elle avança de plus en plus. Au fur à mesure qu’Elena avançait la grande pièce devenait de plus en plus noire, plus lugubre.

- Cet endroit aurait été très bien pour Halloween.

Tout d’un coup, elle entendit un grincement venant du plancher, elle eut froid dans le dos.

Elle continua sa découverte, elle entendit des pas qui se rapprochaient de plus en plus. Elena commença à courir tout droit devant elle, effrayée et ne sachant pas où aller. Et là, le drame commença, elle sentit une main la prendre par le cou, et la serrer de plus en plus. De l’autre main, son agresseur lui mit un sac sur la tête. Elle sentit la corde du sac se serrer. Apeurée, elle tenta de se dégager. Elle ne put aller plus loin quand elle sentit un poignard transpercer son ventre. Son agresseur disparut par la fenêtre de derrière.

Mickael trottinait en chantant dans la rue, dans la main un sac rempli de viennoiseries. Il arriva devant la grange, il chercha du regard sa femme et s'avança. Il tourna la tête d’un geste rapide et là ce fut le choc. Sa vie s’effondra quand il vit le corps de sa femme sans vie. Dégoulinant de sang, son visage angélique paraissait effrayé. Il ne réalisait pas que sa femme qu’il aimait tant avait été assassinée. Il sortit en furie de la grange, prit son portable et appela la police.

-Ma femme s’est faite assassinée ! S’il vous plaît, je vous en supplie, venez vite ! dit-il affolé.

-Calmez-vous monsieur. Où est le cadavre ? répondit avec douceur le policier.

-Dans une grange poussiéreuse vers l’Est de la ville.

-Nous arrivons tout de suite » .

Dix minutes plus tard, les policiers arrivèrent sur le lieu du crime.

« Ecartez-vous d’ici, monsieur, dit le policier.

-Non, je veux rester là. Je ne laisse pas ma femme seule répond le jeune homme énervé.

-Comme vous voulez, restez avec l’inspecteur.

Le policier et ses collègues allèrent sur le lieu du crime inspecter le corps sans vie de la jeune femme.

Un des policier appela la morgue pour faire une autopsie.

Mickael regarda sa femme partir sur un brancard. Il pleura toutes les larmes de son corps.

La nuit passa Mickael n’avait pas fermé l’oeil de la nuit. L’inspecteur lui demanda de passer au commissariat pour un interrogatoire .

« Bonjour monsieur, toutes mes condoléances.

-Merci. Où est-elle ?

-A la morgue.

-Quand pourrai-je la voir ?

-Dès demain matin, l’autopsie sera faite .

-D’accord. Pourquoi voulez- vous me voir ?

-Pour vous poser des questions, cela ne vous gène pas ?

-Non, je veux que vous trouviez l'individu qui a fait ça à ma femme. Elle ne le méritait pas !

-Votre nom s'il vous plaît ?

-Clarck... Walker, mon nom est Walker.

-Je, vous .. . Vous êtes le célèbre acteur ? Euh excusez-moi je ne devrais pas aborder ce sujet.

-Non ce n’est rien. ma femme et moi avons pris un faux nom et des fausses cartes d’identités pour passer un bon séjour, pour que notre célébrité ne gâche pas notre vie personnelle.

-Oui, bien sûr, je comprends.

-Merci de votre compréhension.

-Passons aux questions à présent, avez- vous parlé à quelques personnes ?

-Hum, oui un passant pour trouver l’auberge où j’avais réservé une chambre et à la réceptionniste de l’auberge .

-D’accord. Pourriez- vous me décrire le passant.

-C’était une jeune homme vêtu d’un bonnet sur la tête, un jeune homme brun.

-D’accord, ça ne nous aidera pas vraiment. Nous allons interroger la réceptionniste de l’auberge.

-Je peux vous accompagner ?

-Oui, bien sûr.

Ils allèrent tous les deux à l’hôtel.

-Bonjour madame. une petite enquête de routine.

-Bonjour monsieur l’agent mais heu, Mickael c’est toi ?

-Heu oui, je.. Alexia ?

-Heu vous vous connaissez ? demanda le policier étonné ?

-Oui on peut dire ça. Ma femme s’est faite assassinée hier en fin d’après-midi.

-Un sourire narquois apparut sur les lèvres de la réceptionniste.

-C’est moi.

-Quoi ? c’est toi ?

-C’est moi qui l’ai tué.

-Attention madame vous dites des propos très graves.

-Je sais.

-L’inspecteur la menotta et l’amena au poste de police.

-Une fois arrivés, l’interrogatoire recommença.

-Pourquoi avez-vous fait ça ?

-Tu te rappelles de moi Mike ?

-Oui.

-Tu m’as laissée tomber le soir de la remise des diplômes au lycée. Nous étions ensemble pendant trois ans.

-Je... Oui.

-L’avez-vous tuée, oui ou non ? s’énerva le policier

-Oui, c’est moi.

-Pourquoi ?

-Tu m’as laissée tomber comme une vielle chaussette. En la tuant, je voulais te récupérer.

-Mauvaise idée, dit l’inspecteur. Si ce que vous avouez est vrai, vous risquez trente ans de prison.

-C’est vrai, je n’aurais pas dû faire ça. Je suis désolée Mike. Tu m’as fait tellement de mal. En tuant ta femme c’est toi qui souffres le plus de nous deux.

-Venez ! Vous allez être placée en cellule annonça l’inspecteur.

Alexia pleura.


Voila un an qu'Alexia était en prison quand elle se suicida à cause de sa mauvaise conscience.

Alissone, Océane et Laurie

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Meurtre dans la ruelle
 

Comme tous les jeudis soir, Jean promenait son chien dans le parc municipal. Il vit le couple qui, comme à son habitude, dînait sur la terrasse du restaurant. Le couple le salua puis repartit.

Quand Jean partit, deux coups de feu rentirent. Il courut vers le restaurant et découvrit le corps d’un homme.

Il appela la police : « oui, la police ? Il y a un homme à terre derrière le restaurant Chez Paulo. » La police arriva dix minutes plus tard, l’inspecteur observa la scène du crime : «  cet homme s’appelle Robert Lafondue, décréta l’inspecteur. Il possédait la plus grosse compagnie de pétrole en Afrique ». L’inspecteur chercha des indices puis il passa à l’interrogatoire des personnes présentes au restaurant pendant le crime.

A la fin de l’interrogatoire, un homme présent dans le restaurant dit avoir aperçu un homme qui courait brusquement en sortant de la ruelle.

L’inspecteur demanda s’il pourrait identifier le suspect en faisant un portrait robot :

« Oui

-A quoi ressemble-t-il ?

-Il est chauve, des sourcils épais, de grandes oreilles, un gros nez, des yeux au regard contrarié.

-Est-ce qu’il ressemblait à cet homme ?

-Oui. C’est bien lui ».

D’accord, nous allons lancer un avis de recherche. Puis, deux heures plus tard le suspect fut arrêté sur l’autoroute alors qu'il essayait de prendre la fuite. Il fut emmené au commissariat où il fut interrogé. Il dit qu’il allait voir sa mère à l’hôpital car elle était souffrante.

L’inspecteur demanda : « Donnez-moi l’adresse de l’hôpital où réside votre mère.

-Elle est à l’hôpital Alain Dumontre à Fortville.

-Comment s’appelle-t-elle ?

-Maria ».

L’inspecteur vérifia le téléphone de l’homme.

« Qui est Abdoul Bensaïd ?

-Mon complice se trouvait dans la voiture au moment du meurtre, c’est lui qui a l’arme du crime, un 44 magnum. Abdoul était chargé de surveiller la ruelle et de conduire la voiture.

-Donne-moi l’adresse de ton complice.

-Non. Je vous laisse la trouver car j’ai le droit d’avoir un

avocat. Je ne dis plus rien.

L’inspecteur continua son enquête avec les aveux du suspect.

Le lendemain, il eut un flash.

L’inspecteur trouva l’adresse du complice. Il habitait dans la ferme à 25 km du commissariat. L’inspecteur alla à la ferme puis il frappa à la porte. Une femme ouvrit et dit : 

« Que voulez-vous?

-Je cherche Abdoul Bensaïd.

-Qu’est-ce qu’il a fait pour être recherché par la police ?

-On le suspecte d’être complice dans le meurtre de Robert Lafondue. Vous pouvez me dire où il peut se trouver en ce moment.

-Il doit se trouver à l’épicerie du bourg de Salomont.

-Merci ».

L’inspecteur alla voir si Abdoul Bensaïd était bien à l’épicerie indiquée.

« Abdoul bensaïd vous venez avec moi au commissariat de police, je vous prie.

-Oui. Je n’ai rien à cacher à la police. Même si je ne sais pas de quoi vous parler.

-Vous avez un 44 magnum.

-Oui, j’en ai un dans ma chambre.

-Vous me le montrez».

-Oui, allons-y.

L’inspecteur alla examiner l’arme pour savoir si c’était l’arme du crime.

Il manquait deux balles, certainement celles qui avaient été utilisées sans doute pour tuer Robert Lafondue.

« Voici le 44 magnum.

-Il manque deux balles dans la roulette ».

Le magnum est sûrement l’arme du crime.

Les deux homme se firent arrêter pour meurtre et passèrent au tribunal.

Il écopèrent de 24 ans de prison ferme pour le meurtre de Robert Lafondue.


Laurent, Lucas et Pablo

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L'ETRANGE VOL DE LA BANQUE DE ROME

 

M.King était assis dans son fauteuil. Il écoutait de la musique douce. Sa femme,était assise à coté de lui et tricotait un pull-over. M. King demanda à sa femme :

«  Peux-tu m’apporter un café s’il te plaît ?

-Oui bien sûr mon chéri. »

Ses enfants déboulèrent dans la maison avec un billet de cinq cent euros à la main :

« Papa ! Papa ! On a trouvé un billet !!

-Où ça ?

-En ville, à côté de la banque.

-C’est un billet de combien ? demanda M.King

-De cinq cent euros, papa !

-Cinq cent ! dit-il les yeux exorbités.

-Oui.

-Attendez, je dois passer un coup de fil à M. Lachine. »

Sur ce, il se précipita dans le couloir et prit le téléphone .

« Allô M . Lachine.... M. LACHINE !!!!!! cria t-il »

«  Chérie, je dois partir en ville. Ne m’attendez pas pour dîner. Ce pauvre M. Lachine ne répond pas au téléphone. Il doit avoir des ennuis . »

Il s’habilla, embrassa sa femme et ses enfants et partit en ville. Il démarrait la voiture quand il entendit des sirènes de police et des coups de feu.Il suivit le bruit et comme par hasard, ces derniers venaient de la banque. Il alla tellement vite qu’il grilla au moins trois feux rouges. Quand il arriva à la banque, M.Lachine n’était pas devant la porte. Il entra dans le bâtiment et trouva M.Lachine effondré dans son bureau. M.King appela immédiatement le SAMU. En attendant, il s’aventura au sous–sol. Quand il ouvrit la porte, il vit des cadavres par terre. Il essaya de les identifier. Sans succès. Tout à coup, il entendit du bruit venant d’en haut. Il se précipita en haut et il vit M.Lachine se lever : 

« Bonjour M .King. Vous avez sûrement entendu des coups de feu.

-Oui. Je suis allé voir au sous-sol et j’ai découvert deux cadavres .

-Qui sont-ils ?

-Je ne sais pas . Comment étaient les voleurs ?

-Il y avait un grand homme et un petit homme chauve entourés de leurs gardes du corps .

-Avez-vous besoin du SAMU ?

-Évidemment ! Je suis blessé !

-Ils vont venir vous chercher ...Je vais partir à la recherche des malfaiteurs.

-J’espère que vous réussirez...Merci pour tout ce que vous avez fait pour moi. »

M.King en resta bouche bée. Il n’arrivait pas à croire que M.Lachine soit aussi affaibli.

Tout à coup M.Lachine se releva et se précipita sur M.King :

« Vous n’arriverez jamais à trouver les voleurs car ils sont déjà très loin.

-Je ne vous crois pas. Vous avez trompé les services de police et moi aussi.

-Vous n’avez rien compris ! Je suis un agent double et je protège les voleurs. Si vous voulez les trouver vous devrez me passer sur le corps. »

M.King brandit son arme sur M.Lachine et dit :

« Je peux vous tuer si j’en ai envie mais vous allez faire exactement ce que je vous dis, d’accord ? »

M.Izzard s’impatientait. Il attendait les ordres de M.Lachine. Tout d’un coup, il reçut un coup de fil :

-Vous pouvez cacher l’argent en lieu sûr je passerais le chercher dit un homme à la voix déformée

-Qui êtes -vous ?

-Je suis M. Lachine idiot !

-Où voulez-vous que je cache l’argent ?

-Dans l’entrepôt de fabrication des jeux vidéos. Ce lieu est rempli de bonnes cachettes.Vous devrez éparpiller l’argent car un enquêteur fouineur sait ce que nous manigançons avec le chef.

-Cet enquêteur ne découvrira jamais notre secret...

-Benito ne sait pas que je t’appelle et comme il est le chef, je ne peux pas nous protéger contre sa fureur si on échoue.

-Nous n’échouerons pas ! répliqua M.Izzard

-Je compte sur toi . Personne ne doit te suivre. »

M.King était satisfait .M .Lachine avait bien joué son rôle. Il le relâcha et lui dit :

«  Vous pouvez partir, j’ai le nom de votre chef et je sais où aller pour retrouver l’argent volé.

-Vous n’avez pas peur que je vous dénonce au chef ?

-Non, car je sais que vous ne le ferez pas. dit M.King d’un air calme et posé. »

M .Lachine était ébahi. M.King avait une entière confiance en lui,alors qu’il avait trahi. Jamais il n’avait été aussi partagé. D’un côté il avait un bon ami et d’ un autre côté, il avait beaucoup d’argent et sûrement la police à la clé. Il dit :

« Venez, je vous emmène à la fabrique des jeux vidéo. »

Quand il arrivèrent là-bas, il furent assez surpris. Il y avait un gros container blindé. Ils sortirent de la voiture et observèrent la scène :

« Izzard est-ce que tout est prêt ?

-Oui M.Mussolini, tout est prêt.

-Très bien. Vous pouvez embarquer le container.

-Pas si vite ! les interpellèrent M.Lachine et M.King »

M.Izzard et M.Mussolini furent tellement surpris que Benito lâcha la télécommande du rouleau qui faisait monter ou descendre le container.

« Que faites-vous là M.Lachine...et avec qui ? demanda M.Izzard

-Je suis avec M.King, l’enquêteur du secteur Ouest de Rome. »

Benito brandit son arme sur M.Lachine et tira. M.King roula par terre et se cacha derrière la voiture.

« Vous ne pouvez pas vous cacher !

-Vous ne m’attraperez jamais ! répliqua M.King

-Je suis Benito Mussolini le grand allié d’Hitler ! Jamais vous n’arriverez à me tuer ! Jamais !

-J’ai des alliés moi aussi. Le général de Gaulle et les Anglais.

-Ils ne valent rien face à Hitler !

-Dans quelques années, le führer tombera et vous mourrez vous aussi.

-Je vous enverrai dans un camp de concentration et ensuite dans un camp d’extermination !

-Vous ne m’attraperez JAMAIS ! »

M.King sortit de sa cachette et tira. Benito et M.Izzard furent étonnés mais Benito riposta.

« Je suis Benito Mussolini le plus grand allié d’Hitler et je mets mon nez dans des affaires de vols de banque ! Mais qu’est-ce-qui m’a pris ! »

M.Izzard tira sur M.King. Il vacilla et Benito Mussolini se précipita sur lui :

« Alors au début vous vouliez sauver la banque et maintenant vous vous faites piéger. Quel dommage …

-Vous pouvez me tuer si vous voulez, alors pourquoi ne le faites-vous pas ?

-Je vais vous envoyer dans un camp d’extermination et vous ne pourrez pas m’arrêter. »

M.King était sur le quai avec des milliers de personnes à côté de lui. Le train arrivait .

Il savait que ce serait son dernier voyage mais il partait en Pologne dans un camp d’extermination. Le train s’arrêta et il monta. Il pensa à sa femme et à ses enfants, qu’allaient-ils faire sans lui ? Le train démarra et il partit pour son dernier voyage . Cette fois-ci pour toujours.

Baptiste, Léa et Nathan

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J’étais assise confortablement sur le canapé à coté de la cheminée et à côté de Rex mon chien, un berger allemand. Je m’appelle Lilou et j’ai 8 ans, je suis en CE2, j’ai les cheveux blonds et les yeux bleus. Ma mère cuisinait en attendant le retour de mon père. Ma mère s’appelle Sandrine , elle a les cheveux blonds et les yeux verts, elle a 38 ans et elle travaille dans une animalerie. C’ est là que j’ ai adopté mon chien Rex. Elle est mariée à mon père Christian qui lui a les cheveux bruns et les yeux bleus. Il travaille comme chef de chantier.

Tout à coup j’entends :

<< Ding -Dong ! >>

C'est mon père qui rentre du travail.

-<< Bonsoir chérie, ça va ?

-Bof ! Pourquoi tu rentres si tard ? D'habitude tu arrives à 18h et là tu rentres à 19h30.

-Va dans ta chambre s’il te plaît Lilou dit mon père.

-D’accord ! Dis-je>>

Je monte dans ma chambre et je m’assois sur mon lit en attendant que ma mère monte mon repas. Ma mère me dit :

<< Ca va Lilou ?

-Oui ça va et toi ?

-Oui , et au fait tiens ton repas !

-Ah ! Merci maman>>

Je mangeais mon repas et j’entendais papa discuter avec maman mais je ne comprenais que la moitié des mots. Je m’endormis un peu stressée.

Un an après je vivais seule avec ma mère. Un soir, elle me dit qu’il était mort dans un accident de moto. J'étais terriblement triste.

Le lendemain matin, le réveil sonna à 8h. Je demandais à maman ce qui s'était passé avec papa mais elle ne voulait pas me répondre donc elle m’envoya à l’ école.

L'école était en grève ! Donc je partis au parc toute seule. Je faisais de la balançoire quand soudain je tombai ! Ensuite, j'allais dans le bac à sable. Une ombre se pencha vers moi, tout à coup il mit sa main sur ma bouche , en m’ empêchant de crier :<< AU SECOURS ! >> Il me porta brusquement et me mit dans la voiture et je remarquai qu’ il était cagoulé. Je m'endormis dans la voiture et je me réveillai dans une chambre isolée. Une personne qui ressemblait à mon père m’apporta un repas et il me fit une bise sur le front. J’avais très peur. Il laissa la porte entre-ouverte sans faire exprès donc je descendis jusqu’au milieu et ensuite j’écoutai la conversation entre mon kidnappeur et la personne qui ressemblait fortement à mon père .

<<Alors tu ne lui as pas fait mal, j’espère ?

-Non sinon elle aurait pleuré. Pourquoi ?

-Car c’est ma petite fille chérie, t'as oublié ?

-Non ! j’ai pas oublié

-Bien!>>

Quand j’entendis ses paroles, j’étais très étonnée car ma mère m’avait dit qu’il était mort. Je me rappelai que j’avais mon téléphone dans ma poche, donc j’appelai ma mère.

<<Allô ? dit ma mère.

-Allô maman ?

-Ah ! Lilou !

-oui, c’est moi maman !

-Ah! ma fille où es-tu je m’inquiète !

-Je crois que je suis chez papa !

-Mais...je croyais que...enfin...qu’ il était mort !

-Mais non, il a dit que j’ étais sa fille !

-Ok, il faut que je t’ avoue quelque chose... En fait tu sais l’année dernière ? Quand papa est rentré tard, il m'a dit qu’il avait perdu son métier depuis trois semaines ! Et donc je lui ai crié dessus et je l’ai rejetée par la porte... le dernier truc qui m'a dit c’ était pour te garder... et j’ ai dit NON !

-Si ça se trouve c’était le copain de papa qui m'a kidnappé.

-QUOI ! >>

Bip,bip,bip............ 

Mince j’ai plus de crédit sur mon téléphone snif ! Bon tant pis je vais appeler mon chien Rex donc je siffle.

Tagada tagada ! C’est mon chien que j’entends.

« Ouaf ! >>

J’ouvris la petite fenêtre à côté du lit, je le laissai rentrer et il me sauta sauvagement dessus et me lécha.

Je décidai de descendre et de dire à ‘’papa’’ la vérité. Je descendis voir papa qui regardait la télévision.

<<-Papa, j’ai appelé maman. Je sais qui tu es ! C’est bien toi mon père !

-Non.

-Si si j’en suis sûr que c’est toi mon père !

-Bon d'accord ok....Enfin non, je te dis que je ne suis pas ton père !

-bon, je laisse tomber mais alors si tu n’aies pas mon père..........t'es qui alors ?

-Bah..... je suis ton …...rien

-ok je laisse tomber

-Va dans ta chambre Lilou s'il te plaît.

-Mais comment tu connais mon prénom ?

-Je le connais pas. C’est ton kidnappeur qui me l'a dit ! Bon va dans ta chambre maintenant

-Ok papa, dis-je avec déception.

-Je t’apporterais ton dîner ok ?

-D'accord>>

Je montai donc dans ma chambre et là je vis Rex qui était parti ! Mais pourquoi était-il

parti ? Donc ça voulait dire que j'allais devoir faire mon enquête toute seule ?

Soudain la porte s'ouvrit et là, je vid un policier entrer et derrière mon kidnappeur avec les menottes et ma mère. Mais mon père où était-il?

« Ma fille ! dit maman en me serrant dans les bras en pleurant.

-Maman! Et là je commençais à pleurer et je criais : où est Rex !

-Votre chien est sûrement parti, dit le policier. Bon maintenant, vous êtes en sécurité avec votre mère.

-Mais je veux mon chien, dis-je en pleurant !

Le lendemain matin, je demandai à ma mère pourquoi elle était venue avec les policiers. elle me dit que c’était elle qui avait appelé la police.

« Ah maman, je dois partir au parc pour rejoindre mes amis.

-Non, j’ai peur que tu ne te fasses encore kidnapper. Tu restes avec moi OK ? Tu dois être terriblement bouleversée.

-Pffff ok .>>

J'allai dans ma chambre, je me reposai un peu et j’écrivis dans mon journal intime. Soudain, j’ eus une idée de génie. Et si je passais par la fenêtre ? Quelle bonne idée !

Je mis plusieurs coussins sous ma couette pour que ma mère ne se doute de rien. Je partis par la fenêtre, je tombai sur mon trampoline et je rebondis sur mes pieds. Quel bel atterrissage ! Je pris mon vélo et je partis à la recherche de Rex et mon père.

Ensuite j'allai à la ville et je m’achetai un sandwich. Tout à coup j’entendis l’aboiement de Rex que je reconnus. Je suivis le bruit et dans la petite ruelle, je vis Rex !!

<<Rex, mon chien, ça va ? Où est papa ? >>

Et soudain je mis Rex dans mon petit panier rose et je conduisis mon vélo chez moi mais sans que je le sache mon père m’avait suivie !

<<Maman je suis de retour ! Et avec quelque chose en plus !

-Où étais-tu ?

-Euh …...

-Bon , ce n’est pas grave >>

Soudain la porte s'ouvrit. C’était mon père.

J'appelai la police et quelques minutes plus tard, la police arriva et attrapa mon père. Depuis ce jour-là, je n'ai plus revu mon père et je suis heureuse avec ma mère et Rex mon chien !

Olivia, Loly et Charlyne

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