Les nouvelles policières de 5°C

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               L'AVENTURE DE ROMAIN                  

 

Un crime au cirque        L’ inconnu et le clown     Quel mystère renferme les boîtes à cirque ?

 

LE CRIME DES TROIS CLOWNS      Le Mystère de l'armoire

 

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LE CRIME DES TROIS CLOWNS

Une jeune fille âgée de 14 ans va vivre une histoire tragique. Pourra-t-elle passer son concours de cirque ?

C’était un matin comme les autres. Une fille nommée Aïcha allait au collège. Elle raconta à ses amis qu’elle aimait les sensations fortes et leur annonça donc qu’elle passerait un concours de funambules de cirque. Ses amis étaient très étonnés. Aïcha leur dit :

«Et bien quoi ? Pourquoi faites-vous cette tête ? C’est dans deux jours.

-Aïcha, mais tu es folle ! Tu veux te tuer ? Ca fait deux ans que tu n'en as pas fait ?

-Mais non ! Ne vous inquiétez pas.

-Si tu te retrouves à l’hôpital, tu ne viendras pas te plaindre.

-Si vous me soutenez pas, ce n'est plus la peine qu'on se parle. Au revoir ! »

Aïcha rentra chez elle sans prévenir ses parents. Elle alla dormir.

Elle se leva et alla au collège. Elle n’alla même pas parler à ses copines.

Les cours du collège se terminèrent.

Aïcha prit la route pour rentrer chez elle.

Mais soudain une fourgonnette noire surgit de nulle part et des hommes cagoulés en sortirent et enlevèrent Aïcha. Aïcha était en pleurs car elle avait peur et non seulement elle avait peur mais sans doute elle allait rater son concours de funambules.

Fatima, la mère de la jeune fille reçut un appel :

« Oui, allô. Vous êtes bien la mère d’Aïcha ?

-Oui pourquoi ?

-Car nous avons kidnappé votre fille Aïcha ! Si vous voulez la revoir vous devrez nous donner cinquante millions de Dirhams.

-Oh non ! Rendez-moi ma fille!!!

-Payez-nous et vous retrouverez votre fille ! »

Le téphone raccrocha brusquement. Tout de suite Fatima appela son frère Mohamed VI, le roi du Maroc. Elle raconta à son frère ce qui s’était passé. Mohamed envoya des centaines de troupes de police pour aller sauver sa nièce et il prévint ses meilleurs experts pour chercher des empreintes digitales. Les policiers allèrent interroger les copines d' Aïcha. Mais elles ne savaient rien, malheureusement. Les policiers se retiraient quand soudain ils aperçurent une fourgonnette noire. Ils la suivirent et alertèrent des renforts. Les policiers poursuivirent la fameuse fourgonnette noire. Celle-ci s’arrêta tout à coup, au sommet d’une colline située à côté d’une ville nommée Azilla. Il faisait nuit et on ne voyait pratiquement rien. Les policiers allumèrent leurs lampes torches. Les kidnappeurs menaçaient de la pousser et pour sauver sa petite nièce. Le roi en personne s'était déplacé. Mohamed leur donna la rançon de cinquante millions de Dirhams et plaça très discrètement un mouchard dans la valise de billets. Les cambrioleurs s’en allèrent en laissant Aïcha sur place. Mohamed alla tout de suite la récupérer pour l’emmener vers sa famille. Fatima était si contente qu’elle s’écroula par terre en pleurant de joie. Aïcha alla faire un câlin à sa mère en disant:

«Maman, arrête de pleurer. Je n’ai rien.»

Les policiers partirent à la poursuite des kidnappeurs cagoulés grâce au mouchard. Ils furent ainsi arrêtés et emmenés au commissariat avec les cinquante millions de diras Mohamed VI se rendit sur place et se joignit aux inspecteurs de police pour interroger les cambrioleurs.

«Quelle est votre identité ? Commença-t-il.

Les cambrioleurs enlevèrent leurs cagoules. Et le roi découvrit que c’était ses frères aînés.

«Mi frère, ni nous mis pas on prisan.

-D’accord, vous ne parlez pas bien le français.

-Ci normal ou nas di mal a pa... Le fran... fran... français.

-Mais pourquoi avez-vous enlevé cette fille ? »

Les cambrioleurs ne répondirent pas à cette question importante.
 

Aïcha alla à son concours de funambules avec ses parents. Alors qu'elle passait son épreuve, elle tomba du fil et plongea dans le coma. Fatima pleurait sans interruption. Tout d’un coup le docteur sortit de la chambre et déclara qu'Aïcha allait ester dans le coma pendant 8ans. Fatima s’évanouit. 8 ans plus tard, la jeune fille sortit du coma. Elle rentrait chez elle en rigolant avec ses parents quand, tout à coup, quatre homme cagoulés en clown tuèrent avec une arme nommée AK47 la famille d’Aïcha. Un témoin, qui avait tout vu, appela la police. Les tueurs ignoraient la présence d'un témoin. Ils avaient caché les corps et s'étaient enfuis. La police arriva et trouva les corps. Mohamed VI pleura les membres de sa famille. La police chercha l'arme du crime. Le roi trouva trois pistolets AK47 . Le témoin affirma :

 

« Il y a un suspect pas loin d’ici.

-Où est-il?

-Deuxième rue, à droite. »

La police mit la main sur le suspect. Il se nommait Charif, portait une cagoule et des vêtements de clown.

La police attrapa le suspect et le conduisit au commissariat. La police l’interrogea. Mohamed VI demanda :

« Où sont tes complices ?

-Euh...

-Réponds !

-Ils sont parti ce sauver.

-Où?

-Euh...

-Réponds !

-En France.

-Quelle région?

-Euh...

-Réponds !

-En Aquitaine.

-Quelle ville ?

-Euh...

-Diantre, réponds !

-A Castillon la bataille

-Qui as-tu tué ?

-Personne.

-Alors qui a tué la famille d'Aïcha ?

-Mes complices.

-Leurs noms et leurs prénoms !

-Patrick Dos Santos , Zyad Benidri et Mehdi Ezzahraoui.

-D’ accord. Tu restes ici en garde à vue et nous partons à leur recherche.»

Mohamed VI et ses hommes se rendirent en France, à Castillon la Bataille. Ils retrouvèrent rapidement les trois hommes déguisés en clowns en train d'agresser deux femmes avec des couteaux. Ils arrêtèrent les trois hommes et les emmenèrent au Maroc. Les trois suspects avouèrent à la police leurs méfaits. Ils furent condamnés à la prison à perpétuité et Charif à deux ans de prison. Tous les proches de la famille d'Aïcha, le roi du Maroc, les militaires et quelques habitants du village rendirent hommage à la famille lors de l’enterrement.

Aïman, Arthur et Ismaïl

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Quel mystère renferme les boîtes à cirque ?


Un beau matin, je décidai d’emmener mon petit frère, Paul, au cirque. Paul était blond aux yeux bleus. Il avait 6 ans et était plutôt petit pour son âge. Il était calme et épanoui bien qu’il m’embête parfois.

Arrivée au chapiteau, mon frère était tout excité à l’idée de voir ce spectacle avec moi donc nous rentrâmes. Nous nous mîmes tout devant. Le spectacle commença, Paul riait à en faire lézarder les murs.

Tout à coup, la lumière s’éteignit. J’entendis des cris, je commençais à avoir peur. Quand la lumière se ralluma, les hurlements étaient toujours présents et demeuraient inquiétants. Paul avait disparu.

Je me mis à sa recherche toute paniquée. Le spectacle fut interrompu. Le présentateur demanda aux spectateurs de rejoindre la sortie. Le doute régnait dans le public. J’allai voir les artistes au bord de piste pour savoir s'ils n’avaient pas aperçu Paul. J'interrompis un artiste en pleine discussion toute déboussolée :

« Excusez-moi. N’auriez-vous pas vu un petit garçon blond ? C’est mon frère.

- Quand l’avez-vous vu pour la dernière fois ?

- Il a subitement disparu quand il y a eu la coupure de courant pendant le spectacle.

- C’est la troisième disparition que l’on me signale mais je n’ai aperçu aucun enfant dans les environs. Il serait préférable d’appeler la police.

- Bien sûr, je m’en charge.»

Je m’étais calmée et j’appelai donc un inspecteur, qui se chargerait de l’enquête, avant de prévenir mes parents de la disparition de Paul. Une fois la police sur les lieux, l’inspecteur Nelson Walker se présenta :

« Bonjour, je suis l’inspecteur Walker, je vais me charger de cette enquête. Quand avez-vous remarqué que votre frère avait disparu ?

- Pendant le spectacle. Au moment où il y a eu une brève coupure de courant, des hurlements se sont fait entendre et quand la lumière s'est rallumée, il avait disparu. Je dois vous dire que deux autres disparitions ont eu lieu.

- Donc l’enquête ne concerne pas que votre frère, ceci la complique. »

Nelson interrogea les artistes du cirque et en inspectant leurs accessoires, il se rendit compte qu’il y avait beaucoup de caisses pour pas énormément mais assez peu de matériel à transporter. Il se demanda alors se qu’il y avait dans ces boîtes. L’inspecteur Walker arrêta alors un artiste lui demanda: « Qu'y a-t-il dans ces boîtes, jeune homme ?

- Je ne sais pas, je viens tout juste de rentrer dans la troupe.

- Pourrais-je voir le directeur de ce cirque s’il vous plaît ?

- Vous pouvez aller le voir dans son bureau. C’est au fond à droite, je vous y accompagne.

- Merci, c’est très aimable de votre part. »

Revenu dans le bureau, l’inspecteur était très en colère de ne pas avoir eu la réponse à sa question. Le directeur lui demanda ce qu’il faisait là avec un air suspect. Celui-ci répondit :

« Ce sont les chambres des enfants des artistes.

- Vous voulez dire que les enfants des artistes dorment dedans !Vous vous fichez vraiment de moi, j’espère. Allons donc voir ça !

- D’accord, allons y »

Ils arrivèrent là-bas, l’inspecteur ouvrit une boîte. Il découvrit un ours en peluche devant une boîte. Nelson exigea d’ouvrir cette caisse. Au moment de l’ouverture de la boîte, il entendit des cris venant de derrière un rideau. L’inspecteur Walker s’empressa donc d’aller le tirer et il découvrit trois jeunes garçons dans un état de demi-inconscience. Il aperçut la description de Paul et m’appela. Nelson arrêta le directeur et l’emmena au poste de police avant de le soumettre à un interrogatoire :

« Pour quelle raison avez-vous fait ceci ? »

Le directeur refusa de coopérer, mais au bout de plusieurs heures sous la pression de l’inspecteur, il décida de tout raconter : « J’ai fait kidnapper des enfants pendant mes spectacles pour les obliger à travailler pour moi en les droguant. »

Le directeur fut mis en prison, les enfants transférés à l’hôpital pour une cure de désintoxication.

Une semaine plus tard, Paul retrouva ses parents qui étaient soulagés de le retrouver. Ils fêtèrent son retour avec toute leur famille autour d’un repas.


Pauline, Anthony et Anouk

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L’ inconnu et le clown

Un soir de Noël, un clown et ses amis avaient organisé une fête pour le lendemain.

Le réveil sonna. Le clown dit «fichu réveil». Il se leva et dit à ses amis : «Venez, on va continuer à construire le cirque».

Le cirque commença et le clown n’était pas là. Ses amis se demandèrent où il était.Quand le clown revint, ses mains étaient pleines de liquide rouge. Ses amis lui dirent

«pourquoi es-tu en retard ? Quelle est cette chose immonde sur tes mains ?» .Le clown répondit : «j’ ai dû peindre ma roulotte en rouge» .

Le clown avait l’air bizarre. Il tremblait de partout. Ses amis ne le croyaient pas car ils le voyaient trembler. Ses amis lui dirent « laisse tomber. Va amuser le public». Le public entra dans le chapiteau et un inconnu en dernier. Le spectacle commença. L’ inconnu remarqua quelque chose sur les mains du clown : un liquide rouge comme du sang. A la fin du spectacle, l’inconnu partit dans les coulisses pour voir le clown. L’inconnu lui dit

« quel est ce liquide rouge sur vos mains ?

-C'est la peinture de ma roulotte.

-Vous êtes sûr le clown ?

-Oui, oui»

-Venez, je suis policier, je vous emmène au commissariat ».

Le policier ouvrit la porte de la voiture et le clown s‘enfuit en le frappant. Le policier se releva rapidement et l'attrapa par derrière avant de lui mettre les menottes.

Le lendemain, le policier alla enquêter dans la roulotte du clown et elle était encore bleue. A l’ intérieur, il y avait du sang partout. Le policier repartit au bureau puis alla vers le clown et lui annonça : «menteur, tu n’as pas peint ta roulotte» et tu as tué un pauvre vieux papi». Après l'interrogatoire, le tribunal condamna le clown à la prison à perpétuité.

 

Mathias, Zyad et Mehdi

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Un crime au cirque

C’est l’histoire d’une jeune trapéziste aux yeux bleus et aux cheveux blonds vêtue toujours d'une robe et de chaussures à talons.

Comme tous les matins, je me promenais dans le parc en face de chez moi quand je vis un cirque au loin en,train de s’installer. J'allais voir quand je vis une affiche où il y avait marqué : « recherche de trapéziste ». Je courus pour aller voir, quand je vis la directrice, Mme Chatain, au loin. Je lui dis :

-Madame, j’ai vu votre affiche et je voudrais passer l’audition pour être une trapéziste.

-Je veux bien mais il nous faut ton diplôme.

-Mais j’ai un diplôme.

-Parfait, mais comment tu t’appelles ?

-Je m’appelle Nadia El Hourch.

-Bienvenue au cirque Aliénor, Nadia.

Quelques jours plus tard...

Quand je sortis de chez moi, j’aperçus une personne en train de me suivre jusqu'à mon arrivée au cirque. J'y rencontrais Mme Chatain et elle me demanda ce que je désirais. Alors je lui racontais tout ce qui s'était passé quand une nouvelle trapéziste arriva.

« Bonjour, je m’appelle Amélie.

-Bonjour, répondirent Mme Chatain et Nadia

-Êtes-vous toujours à la recherche d'une trapéziste ?

-Non car nous avons trouvé cette jeune fille mais vous pouvez toujours vous joindre à nous pour assister au spectacle .

-Merci, c’est très gentil de votre part.

-On vous retrouve la semaine prochaine. Alors à 20h30 pour le premier spectacle.

-Au revoir, à la semaine prochaine.

Une semaine plus tard, le jour du spectacle.

Je m’entraînais de plus en plus avec mon porteur Nabil.

« Nabil, il y a Mme Chatain qui est arrivée.

-Bonjour ça va ? demanda Mme Chatain.

-Ca va et vous ?

-Allez les enfants, entraînez-vous bien ! Ce soir, c’est le spectacle.

-D’accord Madame.

Quelques heures plus tard, Amélie vola les costumes.

-Mais où sont les costumes ? demanda Nadia.

-Je ne sais pas. La malle est vide ? s'inquiéta Nabil

-Allez-vous habiller. Les gens commencent à arriver sous le chapiteau !

-Les habits ne sont plus dans la malle.

-Mais où sont-ils ?

-Je ne sais pas. La dernière fois que nous les avons vus, c’était cette après-midi pendant les répétitions.

-Vite, cherchons-les !

-Mais cette après-midi j’ai vu une femme de dos qui fouillait dans la malle. J’ai cru que c’était vous Madame donc je n’ai rien dit.

-Non ce n’était pas moi les enfants ! En attendant, continuez à chercher. Je vais voir si je ne peux pas aller en acheter d’autres pour ce soir mais il faudra les retrouver. Ils datent depuis que le cirque Aliénor a commencé.

-D'accord Madame mais le spectacle va bientôt commencer. »

Quelques minutes plus tard, Mme Chatain apporta les habits du cirque voisin et ils rentrèrent en scène. Nadia monta sur le trapèze et commença à faire des acrobaties quand tout à coup une barre du trapèze tomba, Nadia tomba et s'évanouit. Tous les gens du cirque se posaient des questions.

« Que lui arrive-t-il ?

-Comment a-t-elle fait pour tomber ? »

Quelques heures plus tard les policier arrivèrent pour voir comment Nadia était tombée.

« Cette jeune fille a été victime d’un crime car quelqu’un a dévissé une barre du trapèze, dit le policier.

Les policiers cherchaient des preuves quand un policier trouva les habits de Nadia et Nabil dans une poubelle.

« Ce sont les habits qu’on a perdu, dit Nabil.

-Et vous Amélie, qu’en dites-vous, dit le policier.

-C'est moi qui les ai volés car j’étais jalouse de Nadia mais ce n’est pas moi qui ai dévissé la barre.

-Regardez ce que j’ai trouvé ! Un ongle rouge comme ceux de Mme Chatain !

-Non, ce n’est pas moi car je ne mets pas d’ongle rouge ».

Le policier prit la main de Mme Chatain et lui dit ...

« Vous portez des faux ongles rouges, et il vous manque un ongle comme celui qu'on a trouvé.

-Oui j’ai fait ça car elle est plus douée que moi.

Un mois après le jour de son anniversaire, Nadia se remettait de ses blessures et Nabil l‘invita au restaurant avec tous ses amis du cirque et même Amélie car elle en faisait partie. Quand ils finirent le repas, Nabil demanda à Nadia :

« Veux-tu m’épouser ?

-Oui ! »

Un mois après, le mariage eut lieu. Tous les artistes du cirque Aliénor étaient venus et Nadia devint la nouvelle directrice du cirque.


Un mois après le mariage de Nadia, elle employait deux nouvelles trapézistes Ikram et kenza qui devinrent de grandes trapézistes.

Ikram, Nadia et Kenza

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Comme tous les week-end moi, Hugo un garçon passionné de cirque et mes trois frères Nicolas, Abdénabie et Julien passionnés aussi étions partis dans les magasins pour faire les courses. Quand nous avons terminé de faire les courses, nous les avons ramenées chez nous puis nous sommes partis à la maison de retraite pour dire bonne nuit à notre grand-mère peu commode. Puis nous sommes rentrés chez nous. Une fois arrivés chez nous, on s’endormit en faisant de beaux rêves.

Une semaine plus tard, nous repartîmes faire les courses mais cette fois les caissières étaient déguisés, (en père Noël, mère Noël, …) sauf une qui n’était pas là vu qu’elle n’aimait pas Noël. Arrivé à la caisse, un homme déguisé en clown arriva, sortit un pistolet de sa poche et tira en l’air. Il demanda aux caissières de mettre l’argent dans un sac et de lui donner. Puis d’un seul coup, il nous prit mes frères et moi et nous jeta dans sa camionnette. Quelques heures plus tard, les portes de la camionnette s’ouvrirent, puis dès que l’on sortit de la camionnette, le clown nous dit d’aller dans le hangar qui était juste devant nous. Alors nous rentrâmes dedans et il nous enferma. Nicolas avait son téléphone mais il n’avait pas de réseau alors nous montâmes les uns sur les autres pour faire une échèlle. Dés que Nicolas arriva en haut, il appela la police pour leur dire de venir nous chercher devant le hangar. Une fois la police arrivée, les policiers nous séparèrent et nous firent passer un interrogatoire :

« Que s’est-il passé ?

-On faisait les courses et un homme est rentré. Il a demandé l’argent des caissières puis il nous a pris, et il nous a emmenés ici.

-A quoi ressemblait-il ?

-Il était déguisé en clown et il était un peu gros et grand. Il avait des petites jambes.

-Comment il vous a emmené ici ?

-Il nous a emmenés en camionnette.

-Comment est sa camionnette ?

-Elle est de couleur blanche avec une tête de mort sur les portes de derrière. »

Une fois l’interrogatoire terminé, nous rentrâmes chez nous et on s’endormit.

Le lendemain matin, nous partîmes nous balader mais c'était un piège pour que le clown se montre. Quelques minutes plus tard, une camionnette arriva puis le clown sortit subitement de la camionnette et menaça de nous tuer. Mais d’un seul coup les policiers sortirent de leur cachette et attrapèrent le clown. Tout le monde se demandait qui c’était. Un policier commença à enlever le masque du clown et nous vîmes tous sa tête et c’était notre mère. 

«  Mais pourquoi as-tu fait ça » demanda julien sans réponse en retour.

-Evidemment, dit un policier, votre mère n’avait plus d’argent pour vous nourrir alors elle a voulu voler l’argent du magasin puis vous tuer pour être enfin libérée de vous. 

-Mais pourquoi elle n’avait plus d’argent ?

-Et bien vu qu'elle ne travaillait plus, elle ne gagnait pas d’argent, donc à force d’acheter des affaires et à manger, elle n’ avait plus d’argent. »

Quelque jours plus tard, une famille d’accueil nous recueillit et nous passèrent un merveilleux Noël avec notre nouvelle famille.

 

Abdénabie, Julien et Nicolas


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L'AVENTURE DE ROMAIN

Romain était en train de déjeuner avant de se rendre à son école de cirque pour aller répéter ses spectacles.

Quand il arriva à son école, il apprit la mort de son enseignant. Il se mit à pleurer avec ses camarades. Il demanda de quoi il était mort . Il avait été retrouvé mort, un couteau planté dans le dos.

Le lendemain, il décida avec ses camarades de faire des recherches pour trouver le coupable. Au bout de quelques mois, ils découvrirent quelques indices, ils soupçonnèrent que le coupable pourrait être le meilleur ami du patron de l’école ! Il prit deux mois pour vérifier si c’était lui ou pas ! Ils découvrirent que s’était pas lui, alors il eut des soupçons sur la femme de ménage qui voulait se marier avec l’ancien patron. Et à ce moment, ils virent que la femme pleurée Les jeunes enfants entrèrent dans la chambre de la jeune femme, et ils discutèrent  :

-« Qu’avez-vous madame ?

-Le patron me manque.

-Et les enfants eurent moins de soupçons.

-Il faudrait que je vous dise une chose très importante les enfants : c’est moi qui ai tué le patron, car j’étais jalouse que le patron ait une femme. »

Et les enfants coururent à la police pour tout dénoncer, ils arrivèrent essoufflés et parlèrent :

-Qu’avez-vous les enfants ?

-C’est, c’est la femme de ménage qui a tué le patron de l’école de cirque.

-Vous en êtes sûrs ?

-ELLE NOUS LA DIT !

Et ils partirent la chercher pour l’amener au poste de police pour la questionner.

-Bonjour, madame vous allez bien ?

La femme surprise de voir la police répondit :

-Oui très bien !

-Vous en êtes sûre ?

La femme se mit à pleurée et se dénonça. Elle eut 13 ans de prison. Et Romain devint le nouveaux patron du cirque, mes comme il étais assez jeune, il eut un assistant avec plus d’expérience. Et le cirque eut une très bonne ambiance, et surtout une très bonne réputation !


Lisa, Molly et Charlotte


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Le 25 décembre 2013, à Paris, un événement inattendu se produisit. Un braquage de bijouterie eut lieu avec trois hommes cagoulés dans la plus grande bijouterie de la région. Ils prirent la fuite en Hummer jaune.

Ce jour-là l’inspecteur Dos Santos était dans les parages. Il vit un voleur prendre la fuite et alla voir la bijouterie. Un collier de perles mélangées à des rubis avait été volé. Il demanda si les employés pouvaient décrire les trois voleurs. Le gérant de la bijouterie, monsieur Aïman Soussi et son assistant Zyad Benidri furent interrogés.

« Est-ce que vous avez vu comment il étaient? demanda l’inspecteur Dos Santos.

-Non car ils étaient cagoulés, répondit Aïman Soussi.

-Mais il y en avait un qui avait les cheveux longs de couleur marron, témoigna Zyad Benidri.

Le lendemain, les recherches commencèrent. Les indices apparurent dont une image sur laquelle la criminelle, appelée Anouk Buffet, se trouvait devant le cirque de province. Ils se rendirent au cirque et virent une fille qui ressemblait fortement à celle qui était sur l’image. Il allèrent vers elle et ils montrèrent leurs badges de police.

« En quoi puis-je vous aider ? demanda Anouk.

-Je voudrais parler à Anouk Buffet, demanda l’officier.

-C’est moi-même, dit-elle.

-Où étiez-vous la nuit dernière, questionna l’officier.

-Au Mac Donald jusqu’à minuit répondit-elle.

-Avez-vous un témoin ?

-Oui, le gérant du magasin, dit-elle.

Ils repartirent pour vérifier les preuves. Ils arrivèrent au magasin et demandèrent au gérant.

« Est-ce qu'Anouk Buffet était là hier soir, demanda l’officier.

-Non dit le gérant.

-merci beaucoup » dit l’officier.

Ils repartirent voir Anouk Buffet au cirque de province.

« Madame Anouk Buffet, je vous arrête pour vol, dit l’inspecteur Dos Santos.

-Que se passe t-il, demanda Anouk.

-Vous avez cambriolé la bijouterie ».

Elle partit vers la prison.

« Voilà une histoire de réglée », dit l’inspecteur.

A Paris l’histoire est passée, la bijouterie a repris son cours et Anouk Buffet paye pour son crime.


 

Patrick, Cléa et Lucas

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Le Mystère de l'armoire


Lundi 1 décembre :

Ce matin là, je me réveillai à cause d’un bruit mystérieux. Alors que je descendais les escaliers, mon chien me fit trébucher. Je fis une roue, un saut périlleux et j’atterris au bout des escaliers sur les pieds avec la tête qui tournait.
J’allai prendre mon petit déjeuner et je vis la cuisine vide donc je me dirigeai vers la boite aux lettres et je vis une lettre. Je la pris et la lus. Il y avait écrit :
« Va nettoyer la piscine ! Il y a une surprise qui t’attend ! »
Donc j'allai à la piscine pour la nettoyer. Je pris l’épuisette et quand je commençai à la nettoyer, je vis quelque chose au fond. Je décidai de plonger pour voir ce que c’était. C'était juste un masque de clown. Je réalisai que je m'étais inquiété pour rien.
Je repartis dans ma chambre et là, je vis une mare de sang dans mon placard. Je l'ouvris donc et là, je vis Léa pendue dans la penderie avec les jambes coupées. J'appelai la police. Un policier qui s'appelait Christophe, arriva. Il était plutôt beau garçon. Toutes les filles qui le voyaient tombaient sous son charme.
Je montrai à Christophe ma découverte et là, il commença à enquêter. Tout à coup, il entendit du bruit en bas et il descendit. Il vit une affiche qui disait : « Je suis à côté de toi ». Il se tourna et là, il y avait l'assassin. Il essaya de se battre avec lui mais l'assassin prit un couteau dans la cuisine et lui donna des coups avant de prendre la fuite. Le policier ne put le rattraper. Il monta à l'étage et trouva l'arme du crime qui avait aidé à couper les jambes de Léa. C'était un poignard en sang. Il y chercha les empreintes, en trouva et les analysa. Le monsieur se nommait Jordan Delacombe, il avait les yeux verts, les cheveux châtains, et mesurait 1m83 pour 86 kg. Il était en plus de ça facteur. Alors Muriel pensa que c'était son facteur.
Elle alla donc à la poste pour vérifier que Jordan s'y trouvait. Mais, il n'y était pas donc elle pensa directement que c'était lui l'assassin.Alors, comme elle savait où il habitait, elle alla, voir s'il était chez lui. Quand elle frappa à sa porte, elle vit qu'il était absent. Elle courut chez elle pour voir s'il était passé la voir. Les mois passèrent et elle se demandait où il se trouvait.
Elle décida un jour de revenir à la poste. Quand elle entra, elle demanda au responsable si Jordan travaillait encore là. L'homme lui dit que cela faisait un an que Jordan avait démissionné. Elle décida de l'appeler mais tomba sur sa messagerie. Elle lui laissa un message vocal. Tout de suite après, elle entendit son téléphone sonner. Elle espérait que ce soit Jordan mais c'était le policier qui lui annonça qu'il savait qui était le tueur. Et là, au moment où le policier allait dire à Muriel le nom, elle reçut un second appel. Elle s'excusa auprès du policier mais elle devait absolument savoir qui c'était. Elle prit donc l'appel.
C'était Jordan ! Elle était soulagée d'entendre sa voix. Elle lui demanda :
« Mais où es-tu ? Je te cherche partout !
-Je suis parti de la ville car je m'ennuyais !
-Mais tu es au courant de ce qu'il s'est passé ?
-Non, il y a un problème ?
-Oui, Léa est morte.
-Mais comment cela se fait ?
-Je l'ai retrouvée pendue et j'ai retrouvé ses tibias cachés sous mon lit.
-Oh non, je l'aimais bien en plus !
-Bon, je suis désolée mais je dois te laisser. A plus.
-Bon ok à plus. »
Alors le policier me dit qui était le tueur et il annonça : « Le tueur est Jordan, ton ami ».
Alors, quand elle sut ça, elle se sentit abandonnée, triste, perdue.

Alors les policiers repérèrent Jordan et l'arrêtèrent. Il alla en prison jusqu'à la fin de ses jours et Muriel trouva un conjoint, se maria avec lui et ils eurent un enfant (une petite fille nommée Léa en l'honneur de sa colocataire).


Charlotte, Manon et Sonya

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