La réponse à cette question pourrait être simple, on connaît
les apports des TIC en matière de
concentration accrue des élèves, de gestion automatique du temps, de répétition,
d’auto-évaluation, d’autonomie et de différenciation simplifiées, d’influence
sur l’attitude envers l’erreur. On sait la puissance des outils de recherche, de
documentation, d’accès à des ressources variées, des outils de communication
favorisant les échanges.
Bref la liste est longue des qualités accordées aux TIC. Mais on sait aussi que
leur utilisation efficace impose (exige) des conditions
et des attitudes. Si l’on met de côté la
première condition, la présence de matériel
fonctionnant bien sûr, reste la nécessité
d’organiser sa classe (travaux en ateliers par exemple), de
provoquer des échanges (le TBI peut devenir
un formidable outil de stimulation et de gestion des débats du groupe classe),
de produire pour maîtriser (voir les
Didapages « mathématiques ») afin de profiter pleinement des possibilités
offertes par ces outils.
Le dossier ci-dessous veut montrer qu’en mathématiques en particulier toute la palette des aides numériques est à disposition de l’enseignant, de nombreuses occasions d’utiliser les TIC s’offrent à vous, du logiciel exerciseur au défi maths sur le Web, rien n’est inutile pour faire progresser l’élève si l’utilisation des outils est raisonnée.
