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Informations - Méthode

 

 

Responsabiliser les élèves sur la progression annuelle

par exemple, sur page A4 thèmes des chapitres, objectifs à atteindre (à reporter par les apprentis à la fin de chaque leçon), fourchette horaire, positionnement des évaluations-, sur un contrat de classe formalisés par écrit précisant pour le contrat les engagements du formateur (façon d’enseigner et modalités d’évaluation, écoute) et des élèves (travail demandé, comportement en classe, matériels, tenue des cahiers/classeurs élèves et du livret d’apprentissage, les évaluations, les sanctions en deçà de celles prévues au règlement intérieur de l’établissement, …) ainsi que sur leur acquis (voir p 4 de ce document),

 

 

 

 

Expliciter sa pédagogie

des activités et/ou situation-problèmes permettant de faire émerger savoirs, savoir-faire et objectifs/compétences –tryptique progressivement remplacé dans les nouveaux programmes ou par exemple dans le socle commun de fin de 3ème par connaissances, englobant savoirs et savoir-faire, capacités et attitudes, les compétences chapeautant connaissances, capacités et attitudes-, des évaluations formatives et sommatives, une contextualisation/décontextualisation des apprentissages, expliciter sa façon de travailler (documents et/ou livre, rétro et/ou vidéo projecteur voire tableau numérique, salle avec ordinateurs et logiciels, …), votre souci de la réussite de tous les élèves, à condition qu’ils soient partie prenante (minimum de travail à effectuer en dehors de la classe, …)

 

 

 

Motiver les élèves

(affaire des élèves et de chaque élève, de équipe pédagogique de classe, de chaque professeur), les interroger nominativement -éviter questions à la cantonade et réponses tout azimut- et leur apprendre à travailler en groupe, valoriser leurs productions (procédure mise en œuvre pour tel calcul avec telle calculatrice, présentation de recherches programmées, documents (utiles au cours de maths et/ou de sciences) récupérés lors de stages en entreprise ou dans la presse….) et faire en sorte que la plupart soient producteurs de S et de S-F utiles, en relation avec les programmesnotamment à travers les activités proposées en classe ou en dehors de la classe

 

 

 

 

Repérer les élèves qui ne savent pas apprendre une leçon et qui ont du mal à organiser leur travail sur la semaine

en tenant compte de leur EDT et des contraintes de travail et y remédier notamment lors des heures d'aide individualisée et de module (voir note spécifique au site MSC de Bx sur AI et modules).

 

 

 

Procéder à un positionnement et/ou à une évaluation diagnostique des élèves

(voir en particulier : www.banqoutils.education.gouv.fr (nom d’utilisateur : outils, mot de passe : dpd)

mais aussi le site MSC de Bx, …), en début d’année ou de préférence au début de chaque trimestre (avant certaines leçons), notamment à l’entrée dans les sections professionnelles (1ère année CAP, 3ème DP-6H, 2de BEP et en 1ère bac pro pour repérer les besoins des élèves, les forces et faiblesses des individus et des groupes, afin de concevoir et mettre en œuvre lors des cours, TP, TD, séances de soutien ou d’aide individualisée, un enseignement adapté prenant mieux en compte l’hétérogénéité/diversité des groupes « classe » sans perdre de vue les contraintes des programmes (O/C, S et S-F minimum) et la gestion du temps

 

 

 

Procéder à une évaluation des acquis aux autres niveaux

(TCAP, TBEP, T bac pro, …) de préférence sur les S, S-F et C de 1ère année mais aussi sur les pré requis utiles à la mise en œuvre des enseignements de 2ème année

 

 

 

Connaître les élèves*

notamment motivation, points forts/points faibles, comportement, analyser le fonctionnement des groupe-classes, gérer les personnalités à partir d’observations individuelles (minimum d'écoute et d’échanges souvent utile) et/ou d'équipe pédagogique (de classe et/ou disciplinaire), … rechercher de la cohérence dans les réponses apportées en relation avec le professeur principal, …sachant que dans sa classe chacun doit être capable de gérer les difficultés/problèmes rencontrés, créer une dynamique, intéresser les élèves.

 

* s'intéresser aussi à leurs résultats et appréciations antérieurs figurant dans les bulletins et/ou le livret scolaire

 

 

 

Intégrer les objectifs généraux

(communiquer par oral et par écrit, travailler en groupe et en équipe, développer l’autonomie, le sens critique, la créativité, l’acquisition de méthodologies de recherche, …) et/ou les capacités dites méthodologiques communes*(s’informer, réaliser, critiquer-valider, rendre compte) lors de la mise en œuvre des séquences d’enseignement

* travail spécifique possible lors des séquences dites de "modules" en 2de professionnelle

 

 

 

Faire des mathématiques ou des sciences c’est d’abord confronter les apprenants à des problèmes et, de temps en temps, des situation-problèmes et/ou des observations/expé-rimentations

conduisant à : mettre en œuvre la démarche mathématique et la méthode expérimentale(souvent protocole expérimental) –on parle dans les nouveaux programmes du collège de méthode d’investigation-, avec explicitation le moment venu (voir B.O. et ci-dessous p 5 et 6), en s’appuyant sur des supports polycopiés (ou un livre), donnant lieu à des étapes (un étayage, des questions) mais avec des temps de recherche suffisants, le formateur circulant entre les élèves pour prélever de l’information (difficultés, obstacles, erreurs) et aider ponctuellement tel ou tel élève voire tel ou tel groupe, tout en faisant en sorte que l’apprenant soit confronté, le plus souvent possible, à un ensemble de questions qui l’amèneront progressivement à assimiler la globalité de la démarche ou méthode

 

 

 

Définir des objectifs*,viser des capacités et compétences attendues des élèves

en regard des programmes* et mettre en œuvre une pédagogie de la découverte-en évitant d’annoncer à l’avance par le titre de la leçon ou de paragraphes ou toute autre information ce que les élèves peuvent/doivent découvrir- par les OBJECTIFS/ COMPETENCES, (O/C étant, de préférence, à écrire le moment venu par les apprenants lorsqu'ils ont pris du sens) ; ces O/C, pour être atteints nécessitent l’apprentissage de SAVOIRS (à comprendre et étudier, savoir utiliser) et de SAVOIR-FAIRE (à comprendre et à pratiquer), la synthèse, en regard des programmes, étant brève

*ATTENTION : Les O/C à faire acquérir aux élèves sont à distinguer de la problématique de la situation introductive ou des exercices/problèmes notamment lorsqu’ils sont ancrés sur le professionnel –par exemple pour introduire les statistiques à 2 variables on veut étudier la liaison investissement financier pour la publicité et résultat de l’entreprise- qui est communiquée aux apprenants et, des objectifs que se fixe le formateur pour lui –mettre les élèves en situation de recherche, pendant 10’, face à un petit problème introductif, réaliser une mise en commun des résultats, (faire) écrire/projeter, le moment venu, les O/C, S et S-F minimum indispensables, faire le point, en fin de séquences des principaux éléments mis en place, …) , ces derniers n’ayant pas à être communiqués aux jeunes

 

 

 

Donner du sens aux enseignements

activités ou problèmes, situation-problèmes –on part de documents « bruts » à partir desquels le professeur prévoit un questionnement éventuellement différencié-, observations et expériences*, ancrés le plus souvent possible sur l'E.P. et les périodes en entreprise (importance du travail de concertation avec les collègues de l’E.P. et des échanges avec les tuteurs lors des visites des jeunes sur les lieux de stage notamment pour repérer des situations (des documents) intéressants et/ou motivants en regard du métier pour introduire telle ou telle leçon de math et/ou de sciences, …), d'autres disciplines et la vie courante pour ainsi accroître la motivation de la plupart des apprenants pour les math-sc., tout en les préparant à l’examen

 

Bien qu’ayant un certain caractère « concret » un TP, pour étudier un phénomène, n’a pas forcément du sens pour un(les, des) élève(s) ; c’est pourquoi, préalablement, chaque fois que possible et utile, la présentation d'une(de) donnée(s) introductive(s) (image, photo(s), vidéo, …) conduisant au repérage du phénomène à étudier et à l’association éventuelle des élèves à la conception du TP, est souhaitable sinon nécessaire

 

 

 

Mettre en place, chaque fois qu’utile et possible, des activités introductives donnant lieu, principalement en maths, à une certaine différenciation

notamment lorsque des pré-requis sont nécessaires et/ou des difficultés particulières sont susceptibles d’apparaître- et diversification (essentiellement en mathématiques), une différenciation minimum étant à mettre en place lors des exercices/problèmes (math et sciences), à visée formative, de la plupart des leçons -en particulier pour les exercices à faire hors de la classe afin d’éviter que des jeunes copient sur d’autres lorsqu’ils ne savent pas faire-

La différenciation est à développer sur la base de 2 groupes : groupe I formé d’élèves plus autonomes et groupe II constitué d’élèves ayant besoin de plus de guidance et/ou d’activités plus simples ; la forme la plus simple de la différenciation consiste à prévoir la même activité pour les 2 groupes mais avec un étayage plus développé (plus de questions, des questions plus détaillées, des fiches de révision ou d’aide) pour le groupe II ; même lorsque la différenciation donne lieu à 2 activités différentes les O/C, les S et S-F visés sont les mêmes. Pour les corrections il convient de faire passer en parallèle deux élèves au tableau et, d’une façon générale, cette modalité de correction s’avère aussi profitable, pour les élèves chaque fois qu’elle conduit à la présentation de deux types de réponses, y compris juste et erronée –importance du travail sur les erreurs significatives des élèves-.

La mise à disposition des jeunes d’un classeur des documents remis, avec possibilité d’accéder aux corrections lorsque le formateur l’autorise, peut permettre une certaine différenciation des rythmes d’apprentissages … Par ailleurs, il peut être utile, si le temps le permet et à condition de faire des corrections polycopiées, d’aller plus loin que les exigences du programme avec certains élèves (motivation, poursuite d’étude envisagée, réponse à des préoccupations) et ponctuellement de s’appuyer sur des élèves susceptibles d’en aider d’autres. Certains CAP (tels que photographe, prothésiste dentaire, horloger, E.T.L., …) permettent de poursuivre des études en bac pro ; pour les élèves susceptibles d'y entrer il est nécessaire de traiter, en plus du programme de CAP, les parties des programmes de BEP utiles et nécessaires aux enseignements de bac pro sachant que les évaluations qui entrent dans le cadre du CCF en CAP ne doivent porter que sur le programme de CAP.

 

 

 

 

Rendre les élèves acteurs de leur formation

en s’appuyant sur des supports polycopiés (ou un livre d'activités, à condition que celui-ci ne donne pas les réponses en dessous de l’activité, …) avec des temps de recherche suffisants, sans perdre de vue la gestion du temps et en évitant le plus souvent possible de faire à leur place et/ou d’être omniprésent dans la conduite des apprentissages et en faisant en sorte de ne pas faire avancer la leçon sur la base des seules bonnes réponses d’un nombre limité d’élèves qui ne répondent, par ailleurs, pas toujours en levant le doigt

 

 

 

 

Mettre en œuvre divers types d'évaluations

(voir ce que disent les programmes) et procéder aussi à des évaluations portant sur plusieurs chapitres, les évaluations sommatives qui suivent immédiatement une leçon n’étant pas signifiantes sur ce que les jeunes ont vraiment appris, compris et stabilisé. Ces évaluations doivent le plus souvent possible s’appuyer sur des O/C bien mis en évidence lors des corrections (tableau de croisement Question/Compétences avec barème type CCF en CAP à fournir) afin que les apprenants comprennent que la note n’est qu’un indicateur global qui ne leur donne pas de renseignement précis sur les O/C qu’ils maîtrisent totalement, partiellement ou pas du tout ; lors des corrections le formateur doit responsabiliser les apprenants sur leurs acquis ; pour cela, il fournit la correction des différents exercices/problèmes et le tableau mais, c’est aux apprenants à partir de celui-ci, de repérer leur maîtrise des compétences/capacités évaluées (acquis : A - en voie d’acquisition : VA ou non acquis : NA) et de comprendre, avec si nécessaire l’aide ponctuelle du professeur, les réponses aux questions non intégralement validées puis de recopier ces réponses sur la copie d’évaluation

Par ailleurs, un contrôle très régulier des S et S-F à apprendre et/ou à maîtriser à partir d’une interrogation notée, orale ou écrite courte, en début de cours est indispensable.

 

 

 

S’appuyer sur/travailler avec le centre de ressources

notamment pour amener les élèves ponctuellement ou régulièrement pour certains, à effectuer des recherches utiles au groupe et aux individus (abonnements et/ou acquisitions à faire, si les crédits le permettent, chaque formateur assurant sa part de suivi des documents et d’information des collègues).

Intégrer de façon maîtrisée l’usage de la calculatrice –si différents matériels, faire rechercher les procédures par les jeunes et valoriser leur travail- et faire appel chaque fois que possible et utile aux T.I.C.E.

Des locaux équipés d’ordinateurs et de quelques logiciels sont nécessaires (voir CD ROM diffusé aux équipes math-sciences fin 2003 et en sept. 2005) ; l'utilisation d'un tableur -qui figure déjà dans la plupart des programmes, y compris celui de BEP qui date pourtant de 1992 !- reste à développer notamment comme outil d'aide à la recherche de problèmes dès la 3ème DP 6H et comme outil de simulation de situations faisant appel aux probabilités, à partir de la rentrée 2009.

Petit à petit, il est souhaitable que les LP se dotent, d’un micro connecté à un vidéo projecteur (ou d’un tableau numérique) pour rendre plus compréhensible ou vivante l’acquisition de certaines connaissances.

En amont et/ou en aval de l’expérimentation directe irremplaçable l’utilisation de logiciels de simulation est fort utile en sciences

Voir pour les TICE :      http://eduscol.education.fr/D0015/default.htm et document « L’informatique en mathématiques et sciences physiques pour quoi faire* » (ci-joint)

*Issu du site : http://membres.lycos.fr/msc64/, piloté par V SAMUEL PLP MSC au LP H Baradat Pau

Dans ce site sont également recensés des animations vidéos utilisables dans le cadre des enseignements de MSC.

En bac pro, l'EXAO est introduite dans 3 champs de la sous épreuve de TP de physique et de chimie, dès la session 2008 (voir BO n°31 du 31/08/07) et, au plus tard en 2009 ; des formations de 2 jours sont prévues aux différents PAF à compter de l'année scolaire 07-08 et des matériels (voir BO**, consoles, capteurs et ordinateurs) seront à acquérir par les établissements principalement à partir des budgets alloués par le Conseil Régional d'Aquitaine (probablement entre nov. 07 et janvier 08).

 

 

 

Veiller à la tenue des cahiers/classeurs

(élèves à responsabiliser et grille d’évaluation à leur communiquer) et à l’écriture des informations relatives aux travaux à réaliser sur l’agenda personnel de chaque élève –sans oublier les savoirs et S-F à apprendre et/ou maîtriser !- mais aussi à la clarté des informations transmises aux tuteurs lors des stages en milieu professionnel (pour, par exemple, repérer des supports faisant appel à tel outil de maths et/ou de sciences, en particulier pour le rapport ou le dossier CCF en CAP et dans quelques bacs pros).

Par ailleurs, il est souhaitable que chaque enseignant dispose d’un classeur personnel où figurent des informations exhaustives sur les documents remis aux jeunes, le travail réalisé en classe et à faire hors de la classe, les évaluations, la progression, le contrat de classe

 

 

 

Utiliser à bon escient l'espace du tableau

notamment dans la partie gauche conserver l'essentiel de la séance (titre, objectifs/compétences, paragraphes, savoirs et savoir-faire) ou rétro(vidéo) projeter cet essentiel au fur et à mesure et en fin de séance pour aider les jeunes à bien comprendre ce qu’ils ont à apprendre et à savoir faire pour atteindre les objectifs/compétences que l’on attend d’eux

 

 

 

Donner toujours un minimum de travail aux élèves

synthèse (O/S/S-F), exercice(s) différencié(s)-, les interroger (oralement et fréquemment par écrit pour vérifier l'apprentissage des S et S-F de base), plutôt en début de séance, sur les éléments essentiels de la séquence précédente et les noter

 

 

 

Développer, participer à des actions innovantes

créer en particulier des situation-problèmes, des activités différenciées et, d’une façon générale,, produire individuellement et en équipe des documents (notamment pour l'AI et les PPCP), échanger et mettre en commun des outils dans le cadre de l’établissement et au delà -tout n’est pas parfait d’emblée, les productions sont faites pour être améliorées-, le droit au tâtonnement et à l’erreur existe aussi pour les formateurs- pour enrichir le site académique, le CD ROM PLP MSC et contribuer ainsi à une amélioration globales des prestations de l’ensemble des formateurs

 

 

 

Contribuer à la réalisation de locaux de maths et de sciences adaptés

(en nombre suffisant avec un aménagement adapté aux élèves de LP) et à un équipement en matériels de sciences physique et de chimie, en conformité avec les programmes (voir préconisations), la confrontation régulière des élèves à des TP (prévoir 10 à 12 séances par an) étant une obligation à tous les niveaux

Une salle équipée de paillasses humides pour les unités de chimie est indispensable ; si le nombre d’heures de sciences est supérieur à 30H, une 2ème salle équipée de prises électriques devient nécessaire. L’arrivée du gaz dans les salles de TP n’est pas, en général, indispensable, des « becs » électriques particuliers pouvant être utilisés pour, en cas de besoin, chauffer. Une armoire ventiléepermettant de stocker les produits chimiques est obligatoire pour des raisons de sécurité et une hotte mobile peuvent être nécessaires si des expériences de chimie conduisent à des dégagements gazeux susceptibles d’être toxiques.

 La configuration de salle, la mieux adaptée aux TP de sciences en section professionnelle (voir site MSC Bx*), est celle qui prévoit 9 postes de manipulation pour groupes de 2 jeunes, installés à la périphérie de la salle le long d’une partie des murs et/ou des ouvertures, une paillasse professeur et une 15aine de tables (à 2 places) au milieu de la salle car lors de chaque séquence de sciences les élèves ne manipulent directement que pendant 30’ à 45’. L’utilisation de logiciels de simulation en sciences, utile en amont ou en aval de l’expérimentation, ne peut, d’une façon générale, remplacer l’expérimentation directe par les jeunes eux-mêmes et servir pour la validation des sciences en CCF.

 

 

 

Informer, par écrit, les élèves de CAP (également quelque bac pro) sur les modalités de mise en œuvre du CCF

(dès l’entrée en 1ère année) et les préparer à ces modalités dès la 1ère année (séquences de maths et TP de sciences) et, surtout les aider, par un balisage adapté, à recueillir l’information permettant de choisir un thème qui donnera lieu à rédaction, en 2ème année, d’un rapport d’activité (dossier en bac) support de la situation d’évaluation orale

Le cadrage du CCF en CAP et dans certains bacs pros fait l'objet de notes spécifiques qui figurent au site académique MSC de Bordeaux et dans certains CD MSC diffusés à l'ensemble des établissements.

 

 

 

Inscrire son action dans le cadre des textes de référence

voir au site texte spécifique sur "REFERENCES de QUELQUES TEXTES REGLEMENTAIRES INCONTOURNABLES"